1. Comment je suis devenu un homme Ch. 02


    Datte: 15/06/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    Le dimanche 23 septembre nos rentrâmes donc à Paris car maman voulait profiter de la semaine qui nos séparait de la rentrée, pour effectuer le renouvellement indispensable de ma garde-robe. Songez un peu, j'allais pour la première fois enfin porter des pantalons longs! Pendant le trajet de retour, elle me chapitra, sur la nécessaire organisation de notre « mode de vie », car il ne serait pas facile de pouvoir continuer à mener nos « jeux amoureux, dans notre petit trois pièces, en présence de mon père, ». Fort heureusement les horaires de travail de mon père changeaient après chaque période de repos hebdomadaire, qui eux mêmes se décalaient chaque semaine. En clair, nous pourrions au moins compter sur ses semaines de « nuit » et la plupart des dimanches ou nous serions seuls à la maison pendant plusieurs heures. De son côté maman avait trouver du travail dans un petit atelier de couture, ce qui suivant l'expression consacrée allait mettre du « beurre dans les épinards » mais elle serait occupée du lundi au vendredi. Dès notre arrivée, maman s'empressa de consulter l'ardoise affichée dans la cuisine, ardoise sur laquelle mon père inscrivait ses horaires pour la semaine. Ainsi,ce dimanche, il ne rentrerait que vers dix neuf heures. Nous, nous regardâmes en souriant, et nous dirigeâmes derechef dans ma chambre. Je renversais immédiatement maman sur mon divan, et commençait à fourailler sous sa robe: pendant qu'elle déboutonnait, le haut, je retroussais le bas. Le spectacle qui ...
    ... s'offrit à moi était d'autant plus excitant que pour le voyage, maman avait mis des bas, donc un porte jarretelles, et des chaussures à talons. La vue de l'espace de peau nue, entre le haut de ces bas fumés et le triangle sombre de sa toison décupla mon désir. Je me lançais donc sans plus attendre dans un cunnilingus passionné, prodiguant mille caresses du, bout de la langue à son clitoris tout émoustillé. Je me régalais de sa cyprine, lapant le délicieux liquide que son plaisir lui faisait sécréter. Tout à sa jouissance, elle cambrai les reins pour s'offrir. Son souffle était rauque, sa respiration haletante. Comme c'était bon de lui donner du plaisir. Je continuais mon travail jusqu'au moment, ou elle implora, il n'y a pas d'autre mot, d'être « montée ». Mon braquemart qui n'attendait que cet instant l'empala, ses yeux se révulsèrent. Je la besognais, lentement, m'appliquant pour qu'à chaque coulissement mon chibre flatte bien sa petite perle. Épuisé par la tension nécessaire au contrôle de ma retenue, au bout d'un temps qui me paru interminable, elle supplia d'une voix implorante d'être « achevée ». Ouf! Je lâchais ma semence. Quatre, cinq, six, sept longs traits de foutre inondèrent son utérus, avant que je ne m'affaisse épuisé, vidé. Nous restâmes ainsi, prostrés, embrochés, l'un dans l'autre, l'un sur l'autre, à nous murmurer notre amour. Puis elle se releva, et ôta sa robe en la passant par dessus sa tête. Quelle était belle ma jeune maman, amante, offrant ainsi aux ...
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