1. Comment je suis devenu un homme Ch. 02


    Datte: 15/06/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... impressionnant! Une fois à l'intérieur, toujours penchée sur son mari, elle me m'expliqua en chuchotant, qu'il était hors de question de le coucher dans leur lit et qu'il avait bien de la chance que le fils H. , lui ait évité de passer sa nuit sur le palier. Puis ayant remarqué mon « émotion » elle me gratifia d'un sourire engageant, se redressa en ajoutant: - tu peux toucher mon petit... Je ne me le fis pas répéter deux fois, et engageais derechef une main dans l'échancrure de son vêtement. Ces « lolo » étaient effectivement lourds, chauds et engageant. Tellement engageant que je ne pu résister à la tentation de la plaquer contre la paroi du couloir dans lequel nous nous trouvions encore, au dessus de son mari. Comme elle ne manifestait aucun signe de réprobation j'engageais ma seconde main sous sa chemise de nuit et la plaquait sur son pubis velu. - pas ici mon petit, viens... Leur appartement étant situé du même côté de l'immeuble que celui de mes parents, je compris qu'elle m'entraînait dans leur chambre à coucher... - je parie... Tu n'es pas puceau au moins mon petit... Non à ton geste, j'ai l'impression que non! - Non madame G.... - Jeanine, mon petit François, et pas de madame s'il te plaît D'une poussée je la renversais sur son lit, et me couchais sans autre forme sur elle. - Tu peux au moins enlever tes pantalons mon chéri! fut sa seule réaction. Je m'exécutais à la vitesse grand V et la rejoignis. - mais c'est qu'il... est excité ce gamin... Pfff et bien pourvu! ...
    ... Excité était un euphémisme, cela faisait trois semaines que j'étais au régime sec, j'avais une faim de loup, et cette bonne femme s'offrait spontanément de calmer ma fringale. J'allais lui en donner... Et je lui en donnais. Après avoir entrouvert sa fente d'amour, mon majeur expert se mit en devoir de flatter son clitoris. Elle avait le souffle court, murmurait des « Oh oui, Oh oui, c'est bien mon petit, continue, continue » Tenant à lui montrer qu'elle n'avait pas à faire à un « bleu » je me décidais à lui bouffer la chatte. Ma langue s'activait autour de son petit bouton, elle me pressais le visage sur sa moule qu'elle s'efforçait de m'offrir encore plus. À l'évidence, il devait y avoir un bon moment que son pochtron de mari ne l'avait pas honoré car elle m'offrait son cul comme une chatte chaleur. Quittant son entre jambe pour revenir la chevaucher, je m'amusais a laisser mon gland « tâtonner » faisant semblant de pas trouver l'entrée de son vagin. Elle était aussi ivre de désir, que son bonhomme l'était d'alcool. Elle n'y tenait plus, elle en voulait de la bite. Mais je tenais à ce qu'elle la prenne et qu'elle s'empale sur mon nœud. Après... Après elle n'allait pas être déçue j'allais la défoncer dans les règles. Ah oui elle en voulait, j'avais beau la trombonner à mort, elle ne se calmait pas. Je fus même obliger de lui appliquer un oreiller sur le visage pour limiter ses piaillements. Elle ne se calma que lorsque je lâchais ma purée, et quelle purée... - Ah, ah, ah ahhh ...