1. Comment je suis devenu un homme Ch. 02


    Datte: 15/06/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... yeux de son grand garçon le spectacle de sa ferme poitrine nue et de son corps. Un filet de sperme suintait sur une de ses cuisses, gagnant le haut de son bas, s'y arrêta un instant sur la lisière de nylon avant de continuer sa progression. Ses yeux suivaient mon regard, elle les abaissa, poussant un « Oh, mince! » en découvrant l'écoulement. séminal. Elle s'avança vers moi, et avec une infinie douceur, sa fine main , souleva mon scrotum, le soupesa, l'estima et rendit son jugement. « Tu es un véritable étalon mon amour! » Ce premier trimestre au lycée, comme tout le reste de l'année, je m'appliquais à obtenir les meilleurs notes. Pour moi c'était la seule façon de récompenser maman pour le bonheur qu'elle me donnait. Trois événements importants marquèrent cette première de vie « de couple ». Fin janvier, en plein hiver, mademoiselle Charon mourut. Je connaissais cette vieille mademoiselle depuis ma plus tendre enfance. C'était elle qui me gardait lorsque mes parents travaillaient. Elle habitait dans notre immeuble une minuscule chambre de bonne sous les toits. Par quelle miracle avait-elle pu l'acheter lorsque le propriétaire avait mis en vente tous l'immeuble, nous n'en saurons jamais rien. Mais début mars, maman reçu une lettre d'un notaire l'informant que cette brave vieille lui léguait cette chambre, et tout ce qu'elle contenait. Pour moi c'était une aubaine, pour mon père un sujet de mécontentement, car les frais de succession étaient à notre charge! Le deuxième fait ...
    ... marquant fut que le directeur du Monoprix de notre quartier avait retenu ma candidature pour m'employer comme manutentionnaire pendant les vacances scolaires de Noël. Pour la première fois je gagnais donc mon argent. À l'issue de cette première expérience il me proposa de revenir à Pâques, et pendant les grandes vacances. Ce « job » comme on dit de nos jours, était pain béni pour l'adolescent que j'étais. Enfin le dernier événement, fut au printemps l'hospitalisation de mon père. Si nous devions aller le voir tous les jours et passer une grande partie des dimanche auprès de lui, contrepartie substantielle, je le remplaçais dans toutes ses fonctions dans le lit conjugal. À seize ans et demi, en pleine possession de mes moyens, j'honorais donc « sa femme » au moins une fois par jour enfin quand je dis par jour... J'étais dans toute l'acception du terme, un homme. Cette pratique, et en quelque sorte les responsabilités qui en découlaient, m 'avait « mûri ». J'avais toujours aussi faim, sexuellement parlant, mais au désir animal, avait succédé précoce maturité sexuelle. Quitte à émousser votre plaisir, amis lecteurs, ce que je veux dire, c'est qu'en dehors de la réalité incestueuse, j'éprouvais de plus en plus de satisfaction à donner du plaisir à ma mère. Si l'expression « les yeux bordés de reconnaissance » à un sens, les cernes qui certains matins assombrissaient les yeux de maman en disaient long sur ce point. Les meilleurs choses ont une fin. Vint le jour fatidique, ou les ...