1. Comment je suis devenu un homme Ch. 02


    Datte: 15/06/2021, Catégories: Inceste / Tabou

    ... médecins jugèrent que mon père pouvait sortir. Si j'emploie le mot fatidique, c'est aussi qu'au terme de ce séjour, le diagnostique prononcé était « leucémie ». Comme nous devions aller le chercher le lendemain, ce qui allait mettre un terme à plus de trois semaines d'activités « conjugales », je me promis de profiter intensément de la dernière nuit! Après un rapide dîner, comme nous nous m'apprêtions à regagner « notre » chambre pour la dernière nuit avant longtemps, maman m'apprit qu'elle avait ses règles. La tuile! Je cachais mal ma déception, car je me faisais une joie de lui faire l'amour en douceur avant le retour de notre seigneur et maître. Pour me consoler, maman ouvrit son corsage. Le spectacle de ses nichons gonflés était plus que ne pouvait en supporter mon tempérament: l'érection en sommeil dans mon pantalon n'en demandait pas tant pour se réveiller brutalement. Mais que faire, « me finir à la main »? C'était sans compter sur l'instinct de l'amour maternel. Après qu'elle eut quitté l'ensemble de ses vêtements à l'exception de sa culotte anormalement gonflé par la présence de sa serviette périodique, Elle s'agenouilla, souriante toute en se passant la langue sur ses jolies lèvres. Il y avait longtemps, que j'avais cessé de la soumettre à ce genre de pratique, mais là... Je la laissais « s'avilir » car la tension était trop grande, et comme c'était sa bouche ou ma main... Elle commença par de légères caresses de la pointe de la langue, tout en flattant et en ...
    ... me massant les couilles. Elle s'attaqua ensuite à mon gland gonflé, violacé par l'afflux sanguin, cause de cette bandaison paroxysmique. Puis elle, introduisit ma queue entre ses lèvre et l'aspira. D'une mimique, elle me fit comprendre que je pouvais œuvrer. J'y allais doucement, mais chaque « aller » se terminait bien au fond de sa gorge, au maximum de ce qu'elle pouvait « engoûler » de mon braquemart. Je ne lui laissais aucun répit, jusqu'au moment de mon éjaculation. Ne pouvant plus me contrôler, je maintins sa tête plaquée contre mon pubis et ne la lui relâchait qu'après être certain qu'elle ait bien tout ingurgité. J'étais honteux de cette impulsion, mais soulagé de voir qu'elle ne s'en était pas offusquée. Jusqu'à ce que mon père ait suffisamment récupéré , pour décider de partir se reposer dans la maison de mes grands-parents, je fus contraint à une quasi abstinence à l'exception d'une aubaine inattendue. Un samedi soir, alors que je regagnais ma soupente, au cinquième étage, je trouvais monsieur Goulard, affalé devant la porte de son appartement. Il ronflait comme un sonneur et était manifestement saoul. Je frappais à sa porte pendant une bonne minute avant d'entendre un bruit de pas. Madame Goulard ouvrit, elle était en chemise de nuit et comme elle dû se pencher pour prendre son époux par les pieds pour m'aider à le rentrer, m'offrit une vue imprenable sur sa poitrine. Comme je l'ai souvent dit ma maman avait de superbes seins, mais ceux de madame Goulard étaient ...