1. Yasmina, princesse de l'Orient


    Datte: 18/06/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, danser, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, historique,

    ... étonnement mon érection sous ma légère tunique, elle me palpa au travers du tissu. Plongeant son regard dans le mien, elle s’adossa au pilier qui nous cachait, leva sa tunique et eut un geste d’invite. Alors qu’elle entourait mon cou de ses bras, je la soulevai par-dessous les fesses puis, la faisant doucement descendre vers mon membre tendu, entrai doucement entre ses cuisses, jusqu’au fond de son ventre. Sans cesser de contempler la princesse et Yoala, Aïcha et moi nous agitâmes jusqu’à notre mutuel soulagement final. Tandis qu’elle remettait de l’ordre dans sa tenue, je déposai un petit baiser sur son front. Aïcha s’éclipsa, rougissante, confuse, comme si elle voulait s’excuser. Plus tard, Yasmina entra dans la pièce où je rédigeais mes notes. Yoala l’accompagnait, toujours toute nue, à mon grand étonnement. — Ton esclave m’a dit que tu voulais qu’elle serve nue ! déclara Yasmina, un petit sourire en coin. Eh oui, j’avais oublié cela ! songeai-je, morbleu… En l’absence d’une réponse de ma part, la princesse ajouta : — Je sais tout d’elle et de ses origines. C’est une honnête fille, elle m’a avoué qu’elle a largement contribué à soulager ta solitude. Qu’elle en soit remerciée ! Yoala s’absenta un instant et, avant qu’elle ne revienne chargée de victuailles, Yasmina et moi roulâmes parmi les coussins en nous embrassant fougueusement. Quand Yoala revint, ma délicieuse princesse qui s’était mise elle aussi en tenue d’Ève, exigea par malice que la jeune Pygmée partage notre ...
    ... repas. Ce dernier fut des plus joyeux, presque euphorique. — Bon, je me retire. Je pense que vous avez envie d’être seuls, déclara la jeune noire à la fin du repas. Quand nous fûmes en tête-à-tête, Yasmina glissa jusqu’à moi. Je baisai alors sa bouche sensuelle aux lèvres pleines. Je me sentais comme un homme qui aurait eu soif toute la journée. Je savourai le parfum de sa peau et le frémissement de sa bouche sous la mienne. Je caressai son visage et murmurai : — Tu es là, enfin ! tu es là ! Les yeux dans les yeux… La vérité était là, entre nous, dans toute sa nudité. Je songeai : " Je peux faire tout ce que je veux avec ma jolie princesse. " L’idée chantait dans ma tête comme une incantation, un appel magique. Je caressai fiévreusement son corps frémissant et brûlant de désir. Elle m’invita à me lever et me mena par la main jusqu’au mur tendu de tissu, à côté de la grande baie aux volets ouverts, qui donnait sur le parc artistiquement arboré. Nous nous retrouvâmes debout l’un contre l’autre, et je plongeai mes yeux dans les siens, tandis que je touchais les endroits secrets de son corps. Ses lèvres douces et satinées s’entrouvrirent et je perçus sur mon visage sa respiration tiède et haletante. J’aspirai longuement ce souffle émanant d’elle. Je pensai : " S’il m’est permis de faire tout ce que je veux, elle le peut aussi ! " et, comme si elle lisait mes pensées, elle déboutonna ma tunique, se pencha sur ma poitrine, prit le bout de mon dur sein d’homme entre les dents et le ...