1. Yasmina, princesse de l'Orient


    Datte: 18/06/2021, Catégories: fh, hplusag, jeunes, danser, amour, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, init, historique,

    ... mordilla. Le plaisir soudain, prodigieux, m’arracha un râle. Je m’emparai délicatement de la tête de Yasmina et lui imprimai un lent mouvement de va-et-vient, pour accroître cette sensation. Je songeai encore : " Tout ce que je veux ! " Je baissai mon regard vers sa taille et comblai mes yeux de ses rondeurs et de la peau brune de ses longues jambes. De l’autre main, je caressai à nouveau son visage, étreignis son épaule, soulevai ses seins. Ma main droite passa sur ses hanches, entre ses jambes. Et tout était si merveilleusement doux, si doux que j’aurais voulu avoir quatre, six mains pour la caresser. Soudain, j’eus envie de voir son visage. Je la saisis par les épaules, la redressai et lui dit : — Je veux te regarder. Les yeux de Yasmina étaient pleins de larmes, mais je savais que ce n’était pas signe de tristesse mais de plaisir extrême. De nouveau, nous étions les yeux dans les yeux, et cette fois ce n’était pas seulement la vérité qui se dressait entre nous, mais l’âpre passion qui jaillissait comme un fleuve, comme un torrent. Je m’agenouillai alors devant elle comme suppliant. D’abord, je posai ma tête entre ses cuisses pour me délecter de la chaleur de son corps. Les poils courts et denses de son pubis me faisaient sur la joue une douce caresse. Les senteurs de son désir, provenant de ses replis intimes, décuplèrent mon excitation. Après quelques instants, je me relevai et là, face à face, nous commençâmes à faire l’amour. Je fixai son visage… Elle avait l’air en ...
    ... paix, les yeux mi-clos. Je remuai doucement, j’aurais voulu que cela dure longtemps, très longtemps, mais mon corps ne put attendre. Je ne pus me retenir de la pénétrer plus fort, plus profond et plus vite. Je me sentis soudain perdre l’équilibre. Je la pris dans mes bras, la soulevai et, sans me retirer de sa chair, fis deux pas et adossai Yasmina au mur tendu de tissu. Ma délicieuse princesse écarta un pan de ma chemise et planta ses ongles dans les muscles durs de mon dos. Alors, j’entrelaçai mes doigts sous ses fesses et la soulevai. Elle leva les jambes, étreignit ma taille entre ses cuisses, les chevilles nouées derrière mon dos et, c’était incroyable… il me sembla alors que je la pénétrais plus loin encore. De son entrecuisse montait le chuintement régulier de nos sexes humides qui glissaient l’un dans l’autre, accompagné d’une sorte de succion qui troublait l’épais silence. J’avais l’impression que quelque chose me tendait, chaque geste qu’elle faisait, chaque expression de son visage semblaient bander mon ressort. Je la regardai à travers une brume de désir. Dans les yeux de Yasmina naquit une ardeur panique, une passion sauvage qui me poussa jusqu’au bord du gouffre. Je savais que le moment était venu, que l’instant merveilleux était là, immédiat, et je voulais qu’elle le sache aussi, alors je dis : — Yasmina… maintenant ! Elle répondit simplement : — Moi aussi ! Elle enfonça ses ongles dans la chair de mon dos et me sillonna l’échine de longues balafres qui me firent ...