Bungalows - Histoires de Sexe

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... de nous laisser la place, sortez de cette chambre. Ils mettent une petite minute à obéir. David semble un peu hagard. Sophie a les lèvres gonflées et les tétons humides. Ma petite chérie suit Thomas sans avoir un regard pour moi. — À vous deux, maintenant, dit Sophie. Tu as déjà préparé quatre pinces, Julien, et ils viennent d’en libérer quatre aussi. Vous allez les utiliser toutes, comme sur la photo de Thomas, tout à l’heure. D’accord ?— …— Qui ne dit mot consent. D’abord sur la poitrine. Virginie, enlève la chemisette de Julien et place les deux premières pinces. Il grimace, et toi tu serres tes lèvres pulpeuses. Pense aux autres, les verticales du bas. Tu ne dis toujours rien ? Tu ne veux pas arrêter ? Non, ne regarde pas ton mec, il n’a pas la moindre envie de te voir te défiler, crois-moi. Julien, enlève le corsage de Virginie. Elle n’a pas de soutien-gorge dessous, tout le monde a eu l’occasion de voir ses tétons soulever le tissu, pendant le repas, et encore plus maintenant. Deux pinces, bien au bout. Voilà ! Virginie, déboutonne le short de Julien. Descends son slip, lance le tout sur la chaise. Il bande, on s’en doutait bien. Place une pince sur chaque couille. Parfait ! Et maintenant, Julien, dégrafe la jupe de Virginie, fais descendre sa petite culotte. Sur la chaise, tout ça ! Ah, tu es épilée, Virginie, c’est joli ! Très émouvant ! Eh bien, Julien, hop, une pince de chaque côté. Oui, sur les grandes lèvres, évidemment. Sur les petites ce serait trop douloureux ...

... et sur le clitoris, jamais, on n’est pas des barbares ! Et maintenant enlacez-vous et tournez, le temps d’un slow langoureux. Il vous est permis de mélanger vos salives, si vous voulez. Ah, je vois que vous le voulez ! David, tu viens m’embrasser, pendant ce temps ? Virginie me serre fort contre elle. Nos pinces s’entrechoquent. Nos pubis sont collés l’un à l’autre mais parfois s’éloignent, de manière à tenter une pénétration follement désirée. — Restez collés ! Ne profitez pas de la situation ! crie Sophie en riant. Sylvie peut bien faire ce qu’elle veut avec Thomas ! J’aime souffrir comme Virginie, ses lèvres sont adorables contre les miennes, ma langue est heureuse dans sa bouche. Il faut que ça dure longtemps, longtemps… Et nous serons bientôt dans la chambre à côté, longtemps, longtemps. — Ils sont mignons, tous les deux, hein David ? Leurs fesses à portée de main. Ah, si j’avais un martinet ! Ta ceinture, David ! Voilà ! Frappe, frappe ! Plus fort ! Plus fort sur les fesses de ta femme infidèle et sur celles de son amant ! Enfin… son futur amant. Peut-être ! — Thomas, Sylvie, sortez de là ! Les cinq minutes sont écoulées. Sylvie, viens voir ton mec dans les bras de Virginie ! Quand ils se détacheront je suis sûre que tu verras un peu de sa semence sur le ventre de sa cavalière !… Allez, écartez-vous ! Voilà, qu’est-ce que je disais ! Julien, enlève les pinces de Virginie, avec les dents. Virginie, à ton tour !… Et vous comptez aller dans la chambre, maintenant, les deux ...