1. Bungalows


    Datte: 18/06/2021, Catégories: fh, couple, couplus, voisins, fépilée, vacances, plage, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, massage, rasage, jeu, sm, attache, yeuxbandés, fouetfesse, piquepince, orties, entrecoup,

    ... simplement. Qui veut me débarrasser de mon chemisier et de mon soutien-gorge, et poser ensuite une pince de chaque côté, bien au bout ? Ça fait un peu mal mais j’adore !— Ah, je demande pas mieux, répond David.— Attention, toi aussi tu vas en avoir !— Mais je l’avais bien compris ! Sylvie fronce un peu les sourcils quand les pinces viennent mordre les tétons de Sophie. Celle-ci, très calme, demande combien de temps elle doit les garder. — Pour David, ce sera la même durée, évidemment. Alors, David ?— Deux minutes ?— C’est trop court. Trois ! Approche, que j’enlève ta chemisette et que je place les pinces, juste au bout de tes petits tétons, comme tu l’as fait pour moi. Voilà ! Tu chronomètres, Thomas ?— Oui. David, prends-la dans tes bras, comme pour danser un slow, de manière à coucher les pinces, sur elle et sur toi. Bien collé ! C’est un peu plus douloureux, hein ?— Oui, mais c’est… divin ! Elle a les lèvres dans le cou de David, et lui semble humer les cheveux de Sophie. Ils tournent, ainsi enlacés. — Les trois minutes sont écoulées, dit bientôt Thomas. David, enlève les pinces de Sophie. Avec les dents. Bien. Sophie, enlève celles de David. Pour la suite, tu es d’accord, Sophie ?— Mais bien sûr, mon chéri.— David, tu vas dans notre chambre avec Sophie, pour trois minutes. Tu peux fermer la porte. — Pendant ce temps, c’est Sylvie qui va prendre les pinces avec moi. Approche, Sylvie. Tu peux refuser, tu sais. Sylvie s’approche en commençant à déboutonner son chemisier. — ...
    ... Ah non, c’est à moi de le faire ! objecte Thomas. Le chemisier jeté sur une chaise, il dégrafe et enlève le soutien-gorge de Sylvie - c’est le mauve, avec de la dentelle, que je lui ai offert pour la Saint-Valentin - et frôle ses tétons avant d’y apposer, très vite, une pince de chaque côté. — Voilà. À toi, maintenant. Elle déboutonne fébrilement la chemisette de Thomas, la lance sur la chaise et fixe les pinces, de côté, en s’appliquant à les poser bien au bout, à l’endroit le plus douloureux. — Cinq minutes, dit-elle.— Mais bien volontiers ! Et dans mes bras, comme David et Sophie ?— Si tu veux.— Tiens, à propos, les trois minutes sont écoulées. Qu’est-ce qu’on fait, Virginie, on les appelle ou on les laisse tranquilles ?— Décide.— Eh bien, on les oublie. Sylvie a les bras autour du cou de Thomas, qui la tient collée contre son corps. Ils ne font pas attention à nous. Leurs bas-ventres surtout sont l’un contre l’autre. Les minutes passent. Je regarde Virginie. Je prends quatre pinces sur le séchoir. — Non, ordonne Thomas, qui écarte ses lèvres de la tempe de Sylvie. Attendez un peu, profitez de l’instant présent, soyez un peu torturés par la jalousie ! — Les cinq minutes sont passées, douce Sylvie. Je m’écarte de toi, provisoirement peut-être. J’enlève tes pinces. Avec les dents. Tu as très mal ?— Un peu, quand même.— Enlève les miennes, et remplaçons les autres à côté, si tu veux. Elle ne répond pas. Il frappe dans ses mains et se met à crier : — Eh, vous deux, il est temps ...