Histoires de cocus (extra)ordinaires (2)
Datte: 18/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
— Salut p’pa ! — Salut les jeunes... Alors ma belle-fille, ils sont bons les coups de bites de mon fils ? Fasila n’est pas ma femme au sens où nous ne sommes pas mariés. Mais nous sommes en couple et c’était la première fois que je l’amenais chez mon père à la ferme. — Oui, super, répondit-elle sans se démonter alors que je poussai un : "papa" ! Outré. Pourtant, je n’avais pas de quoi être surpris. Papa a toujours été un chaud lapin, très porté sur le sexe et les histoires de cul. Pudeur est un mot qui ne fait pas précisément partie de son vocabulaire. Ma mère l’avait quitté, entre autres, à cause de ses multiples infidélités bien qu’elle-même ne fût pas un parangon de vertu. — Ben quoi "papa"! T’as les yeux en trou de pine mon fils et tu te permets de faire comme si t’étais choqué ! Tu as oublié que les cloisons ne sont pas épaisses... J’vous ai entendus baiser toute la nuit. Faut dire qu’il y a de quoi ! Y a du monde au balcon. C’est là que je pris conscience de la légèreté de la nuisette de Fasila, mon adorable métisse. Le soleil de juillet entrait à plein par la fenêtre de la cuisine et la mettait en transparence. On voyait sa peau foncée sous le tissu et ses gros seins ronds et pointus qui dardaient fièrement. Mon père la dévisageait ou, plutôt, il l’envisageait et il ne pouvait pas ne pas avoir remarqué la présence de la touffe encore plus sombre puisque Fasila ne portait pas de culotte. — Il semble qu’il y a aussi du monde au sous-sol, répondit ma femme du tac au tac ...
... en dirigeant son regard vers le bas-ventre de mon père. Papa était déjà, et depuis longtemps, en bleu de travail dont la fermeture éclair était ouverte jusqu’au pubis. Ses poils poivre et sel, très fournis perlaient déjà de sueur accumulée depuis des heures de travail. Il avait dû commencer vers six heures et, à dix heures, il venait prendre un solide en-cas précisément au moment où nous nous levions pour notre petit-déjeuner. Il avait une belle bosse du côté gauche. — Tu veux voir s’il y a du monde ma jolie ? — Papa, tu ne sors pas ton sexe ! Ordonnais-je sachant qu’il n’avait qu’un coup de hanche à donner pour dégager sa bite qu’elle se détende et vienne pointer le bout de son nœud en bas de la salopette. — Oh dit l’autre qui nous montre bien la sienne ! De fait, mon caleçon était tendu. Je dus m’asseoir pour planquer sous la table une érection qui montait. Mon père nous apporta du café, qu’il venait de réchauffer, en frôlant délibérément ma copine qui ne fit rien pour l’en empêcher. — Bon, je vous laisse. A ce midi ! Si tu peux donner un coup de main cet après-midi Maxence... — Pas de problème. Vous moissonnez ? — Non après-demain je pense, mais on a autre chose à faire. Attention. Il va faire chaud... Tiens d’ailleurs j’vais mettre un T-shirt. — OK. Puis il sortit. Fasila s’assit à côté de moi puis plongea la main sous la table. — Qu’est-ce que j’ai aperçu tout à l’heure ? Tu bandes hein mon salaud ! Elle attrapa ma bite et se pencha. Je reculai pour la laisser faire. Elle ...