Histoires de cocus (extra)ordinaires (2)
Datte: 18/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... l’extirpa du calbut et se mit à la branler vigoureusement pendant que je passai ma main entre ses cuisses pour commencer à lui titiller la vulve. — Dis donc, il est bien foutu ton père pour son âge... — Il n’a que 50 ans. — N’empêche, il est bien gaulé, musclé pas un pet de graisse et tout bronzé. Y a plus d’un mec plus jeune qui n’en remontre pas autant ! — Bronzage agricole... — Il travaille souvent à poil ?... car il avait l’air bronzé même du bas... — T’as regardé par-là toi ? — Il m’a l’air d’être vachement bien monté ! — Ma bite te suffit pas... t’as pourtant l’air de l’apprécier. — Hmmmm oui, elle est bonne ta queue mais si tu avais une défaillance... — Couche-toi sur le dos que je te la foute bien à fond ma défaillance. Laissant là ce badinage, elle écarta les bols, s’allongea sur la table, ouvrit les cuisses pour m’offrir sa chatte à bouffer avant que rapidement j’y plante mon dard. Elle m’avait excité la garce aussi la sautai-je sans ménagement, la tenant fermement par les hanches. Ses seins lourds roulaient en cadence. Parfois elle se laissait complètement aller, parfois elle se mettait sur ses coudes pour redresser la tête et me regarder avec provocation. Il y avait là de la confiture, j’en mis sur le bout de ses seins et les suçai avant de me remettre à piner comme un beau diable. Tout à coup, j’aperçus une ombre par la fenêtre. Puis l’ombre se fit forme et la forme se cola devant l’ouverture. Papa nous regardait. Il avait sorti sa queue et se branlait. Je ...
... m’arrêtai, saisi de stupeur. Fasila, qui ne pouvait pas le voir me demanda pourquoi je m’arrêtais. — Pour t’enduire le trou de confiture et le bouffer... dis-je comme si elle venait de me tirer de ma réflexion. Elle me crut et me laissa faire. Papa observait toujours. Je restai un long moment entre les cuisses pour bien nettoyer le sexe plein de marmelade. Quand je me redressai, il était toujours là. Je remis ma bite au trou et décidai de rejoindre ma femme sur la table afin de pouvoir lui juter sur les seins. Et il était toujours là, bandant. Quand j’eus fini, il releva son short car, comme il l’avait dit, il s’était changé. Fasila prit une tranche de pain qu’elle frotta contre sa poitrine pour y étaler mon sperme et s’en faire une tartine. Papa s’était écarté pour qu’elle ne le vît pas mais il épiait la scène. Nous prîmes notre petit-déjeuner ainsi puis j’allais me doucher. Tout en me lavant j’entendais une petite voix intérieure qui me disait que si je restais là trop longtemps, je risquai de me retrouver cocu. Mon père allait-il se contenter de nous regarder ? J’avais vu comment il avait regardé ma femme... son œil concupiscent n’avait fait que précéder le signal donné par son érection. Il n’avait jamais su résister à une belle femme. Combien de types dans le village et même dans le canton lui devaient d’être cocus ? Mais là, c’était ma femme... alors... Ma petite voix me disait de fuir, de partir, d’emmener ma femme au-delà de ce prédateur. Je savais que je devais écouter mon ...