1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (2)


    Datte: 18/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... pressentiment, mais avais-je vraiment envie de fuir ou, plutôt n’étais-je pas curieux de savoir s’il oserait et si Fasila résisterait. Entre un gros queutard et une nana qui aime la bite, c’est comme si j’avais mis moi-même l’allumette au-dessus du baril de poudre. Car ma femme aime le cul. C’est OK entre nous. Nous nous sommes promis de rester libres de notre sexualité à condition de tout dire à l’autre. Quand elle couche avec un autre garçon, elle me raconte tout. Elle m’a ainsi renseigné sur les qualités sexuelles de la plupart de mes potes et moi j’en ai fait de même... donc, si l’on veut je suis déjà cocu et elle l’est elle-même... Mais est-on cocu quand on y consent... être cocu par un pote ou un inconnu... mais avec son propre père... C’était là un débat métaphysique dont le lecteur sent bien toute l’importance... la philosophie sous la douche... L’après-midi fut consacré aux divers travaux de la ferme et le repas du soir à des nouvelles portant sur ce que faisaient les uns et les autres. Il y eut bien sûr son content d’allusions salaces auxquelles ma femme riait de bon cœur. D’allusions salaces en questions grivoises il n’y avait pas loin et, tout à trac, mon père demanda à Fasila. — Tu bouffes toujours le jus de mon fils ? — Pardon ? — J’vous ai vu ce matin. Tu bouffes toujours le jus ? — P’pa merde ! T’es indiscret. — C’est pas indiscret de baiser sur ma table ? — Non je ne bouffe pas toujours le jus, reprit Fasila... mais j’aime bien de temps en temps. — ...
    ... Décidément, elle est parfaite cette petite... Vous avez déjà baisé à plusieurs ? La proposition était directe. — Non, et vous ? — Non... mais j’crois que j’aimerais ça. — Bon ben on va débarrasser, hein ! La journée a été dure et si on moissonne après-demain... dis-je pour couper court. Il était tard déjà mais nous avions traîné un peu en espérant profiter de la fraîcheur qui ne venait pas. Nus dans notre lit, nous discutions. — J’suis désolé pour mon père. — De quoi ? Tu m’avais prévenue et puis j’aime bien les gens directs. Tu crois que c’était une proposition tout à l’heure ? Et puis tu es vraiment aussi désolé que ça ? Dis-le franchement que ça t’excite de le voir me tourner autour ! — Non, non je t’assure. Et de quelle proposition tu parles ? dis-je comme si je ne savais pas où elle voulait en venir. — Quand il a demandé si on avait fait un plan à plusieurs... c’était un appel du pied ça... — J’me vois pas faire un plan avec mon père... et toi ? — Faut voir... — Ma parole ! Mais tu te laisserais sauter par mon père ! — Lui ou un autre, quelle importance ! J’ai bien niqué avec ton pote... comment il s’appelle là le petit gros... et d’autres que je connais pourtant bien mieux que ton père... et ton père est un autre gabarit que ces gars-là ! — Oui mais c’est mon père. — Alors comme ça il nous a matés ! — Ben oui... — Quel gros cochon... et tu l’as vu ! Et tu n’as rien dit ! C’est de famille hein ? Vous êtes de la quéquette... vous pensez qu’à ça, c’est héréditaire à ce que je ...
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