Histoires de cocus (extra)ordinaires (2)
Datte: 18/06/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... vois... dit-elle en se penchant vers moi. — Ça se pourrait... et ça se pourrait que t’aimes les cochons, hein ma salope... — Hmmmm... Et sans rien dire de plus, elle me chevaucha. Nous commençâmes à baiser et, subitement, elle alla ouvrir la porte du couloir. Je crus que c’était pour faire courant d’air car il faisait lourd. — Je crois pas que ça va ramener de l’air. — C’est pas pour l’air, c’est pour ton père. — Comment ça ? S’il nous entend et qu’il veut nous mater, il ne pourra pas se planquer derrière la serrure. S’il veut voir, il faut qu’il assume. Nous laissâmes donc la porte grande ouverte et continuâmes ce bon moment de baise. Elle gémissait plus fort que d’habitude, du moins en avais-je l’impression... Sûr qu’il entendrait. Nous en étions à une bonne levrette, la tête tournée vers le bas du lit, c’est-à-dire face à la porte. Quand le bruit d’une autre porte grinçant sur ses gonds se fit entendre. Puis la lumière du couloir nous sortit partiellement de l’obscurité. Notre chambre étant la dernière au fond du corridor, il fallait y venir de façon délibérée pour voir ce qui se passait. Nous faisions du bruit depuis une bonne vingtaine de minutes et je n’étais pas décidé à plus de discrétion que ma femme. Tout à coup, papa apparut sur le seuil de la porte, nu, la queue bien en l’air. Il s’appuya contre le chambranle pour nous regarder sans complexe. Je m’arrêtai quand même surpris par ce culot. Une solide ruade de ma copine me fit comprendre qu’il fallait terminer ce ...
... que j’avais commencé. Je repris donc mes efforts et, rapidement encouragé par Fasila qui se comportait exactement comme d’habitude je repris une contenance normale malgré la présence paternelle. Celui-ci entra dans la chambre. Il y a un fauteuil bas, genre année 1930, dans un coin. Il l’approcha, s’avachit dedans, écarta les cuisses et se mit à se branler vigoureusement. Fasila approchait de l’orgasme et lorsqu’il se déchaîna, elle m’entraîna avec elle, j’éjaculai en elle en poussant ma queue de toutes mes forces. Puis je m’affalai sur le lit. Fasila vint s’étendre à côté de moi. — Putain c’était trop bon, dis-je — Une belle scène de cul bien chaude, les enfants, ça me change d’internet, répondit mon père. Il s’était levé, se tenait debout dans la ruelle, les jambes collées contre le matelas. Ma femme respirait rapidement, soulevant sa belle poitrine qui luisait sous la sueur. — Bon ben tu vas peut-être nous laisser maintenant. Tu vas pas rester là à te masturber devant nous toute la nuit. — C’est clair qu’il y a mieux à faire. Joignant le geste à la parole, il plongea une main entre les jambes de ma femme qui ne broncha pas et de l’autre écrasa le sein collant de transpiration. — Qu’est-ce tu fais ? — On a dit qu’elle aime le foutre... on va pas perdre ça. Il me montrait ses doigts, qu’il venait de ressortir du vagin. Ils étaient enduits de jus. Il les porta à la bouche de ma femme. — C’est bon ? — Hmm... régal. — T’en veux d’autres ? — Ouiiiii. Il remit ses doigts. Je m’étais ...