1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (2)


    Datte: 18/06/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... mis sur le côté pour regarder. — Vous arrêtez vos conneries là ! A nouveau elle suçait les doigts paternels recouverts de ma semence. — Y en a plus beaucoup petite gourmande. Je te refais le plein ? — Ouiiii... Il monta alors sur le lit et s’allongea entre les jambes écartées; — Qu’est-ce que tu fais ? — Tu vois bien que j’vais la sauter andouille ! Elle attend que ça ! Pousse-toi un peu, fais-moi de la place. Comme un con, j’obéis, et il la pénétra. — Bordel, qu’elle est bonne. J’aime les femelles bien chaudes comme ça. Il l’embrassa, lui bouffa les seins et les aisselles. Il lui mangea la chatte. Impuissant, j’assistai à ce spectacle inédit. Car, si Fasila avait souvent fait l’amour avec d’autres hommes, cela ne s’était jamais passé en ma présence. Elle était belle dans l’exaltation de son plaisir qu’elle ne dissimulait pas et, d’ailleurs mon père n’était pas mal non plus. Ses muscles le mettaient à son avantage et sa grosse bite lui donnait une assurance que plus d’un professionnel du sexe, hardeur débutant ou même confirmé n’aurait pas eue. — Viens par là que je t’encule ! Il l’invitait à venir s’asseoir sur lui. Elle s’empala lentement avec précaution pour ne pas souffrir d’une déchirure trop brutale qu’un tel braquemart semblait promettre, et quand elle fut bien figée sur la colonne rigide, ils se déchaînèrent tous les deux ; elle, jouant de ses jambes pour monter et descendre sur le zob, et lui, donnant de grands coups de bite. kzukttfv Ils gueulaient comme des bêtes. ...
    ... Puis elle se releva, fatiguée par la position. Il la remit sur le dos, souleva bien la croupe pour continuer à la sodomiser ainsi, complètement tendu sur ses jambes et en appui sur ses bras. Je pouvais voir en gros plan l’engin massif éprouver l’élasticité de ma rondelle préférée et la pilonner sans réserve. — Maxence mon garçon, t’as bien choisi. Ça c’est de la meuf, pas fainéante du cul. Tudieu quel pied ! Ma femme m’insultait : — Alors mon gros cocu... t’en as fait exprès, salaud, de m’amener là pour me faire fourrer par ton gros porc de père. — Non, je te jure... — Il est pas cocu, puisqu’il est là... hein... regarde salope comme il aime bien te voir baisée ton mec. Attends encore un peu et il va se remettre à bander comme un âne. Tu vas être baisée trois fois d’affilée ma mignonne. Il n’avait pas tort. Comme il est endurant, j’eus tout le temps de me refaire et je me retrouvai en érection avant qu’ils aient terminé. Il voulut jouir entre les seins dans une branlette espagnole mémorable. Les couilles se vidèrent avec la puissance d’une lance de pompier. La gorge en était couverte. Il y promena son bout pour bien le recouvrir de foutre et le faire décrasser par Fasila qui s’en délectait. Puis il me regarda reprendre ma femme comme un forcené. Les voir copuler tous les deux m’avait aiguillonné en diable. Je voulais me montrer plus endurant, plus percutant, plus performant que lui et la déglinguer comme une pute. Elle y eut droit à ma bite, je peux vous le dire ! Agenouillée ...
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