Unités de compte
Datte: 23/06/2021,
Catégories:
fhh,
extracon,
cocus,
essayage,
Collègues / Travail
chantage,
entreseins,
Oral
préservati,
Partouze / Groupe
exercice,
... un film d’horreur. Mais l’Alien est un humain. Il ne ressort pas de la gorge déchirée et balance sa semence entre les lèvres refermées sur sa queue. Cocu de toutes les façons ! Décidément, elle m’aura tout fait. Ou plus exactement elle ne me l’a jamais fait. Jamais elle n’a accepté de recevoir mon foutre, et encore moins l’avaler comme j’en rêvais. Rien que cela suffit à justifier le divorce ; et encore, on a tué pour moins que cela. Les deux hommes se sont relevés et ma femme peut s’asseoir. Du coin de ses lèvres coulent des traînées du foutre de son amant. Elles ne vont pas tarder à rejoindre celles de l’inconnu, formant une rivière de stupre. Tiens, le Max a de la prévenance ! Il tend une serviette à sa pouffiasse pour qu’elle s’essuie un peu. La pouffiasse, d’ailleurs, se lève et sort. Mais c’est pour revenir quelques secondes après avec du champagne et trois verres. Quand je pense qu’on tire le diable par la queue et qu’elle offre du champagne à ses amants… Vraiment, la totale ! Ils boivent. Ils discutent. Ils rient. Les hommes ne se privent pas de laisser leurs mains courir sur la femelle dénudée jusqu’à la taille, les seins lourds mais fermes bougeant sous les secousses. Ils deviennent plus entreprenants, l’un attaquant par-devant, l’autre par derrière. De la façon dont elle se contorsionne, pas de doute que des doigts font connaissance avec son minou, et peut-être même avec son cul. Ils sont trop près pour que je puisse voir, mais je mettrais ma main au feu que le ...
... string laisse assez de place pour une invasion coordonnée. Ils rebandent. C’est une évidence lorsqu’ils s’éloignent de leur proie. Les deux hommes s’assoient sur la banquette, le temps que des mains habiles aidées par la bouche la plus perverse que je connaisse fassent glisser une capote sur chacune des bites maintenant dressées. L’inconnu s’allonge. Il tient sa queue bien verticale, véritable poteau où la femelle peut venir s’amarrer. Pas la peine de lui faire un dessin : la pute, qui sans avoir arpenté les docks mais seulement son cabinet d’essayage, vient pour le chevaucher. La hauteur de la banquette est parfaite, à croire que tout est parfaitement calculé. Les pieds bien ancrés sur le sol, Martine n’a plus qu’à fléchir les jambes pour amener sa chatte en face du mât dressé. Sans le savoir, elle me fait face. Elle se tient bien droite, ses yeux plantés dans les miens sans qu’elle ne l’imagine un instant. Moi, je ne peux m’empêcher de baisser le regard, non pas par honte mais par une curiosité si malsaine qu’elle entretient mon érection. Si je bande et que ma queue déforme mon pyjama, ce n’est pourtant pas mon mandrin que je vois disparaître dans le con de ma femme. C’est celui de cet inconnu. Et le visage. Cette expression de satisfaction et de plaisir qui dégouline de tous les pores de ma salope d’épouse, prenant la mesure de ce qui la possède en bougeant du bassin. « C’est bon… » Voilà ce que je peux lire sur ses lèvres, alors que maintenant elle se tortille sur la bitte ...