1. Unités de compte


    Datte: 23/06/2021, Catégories: fhh, extracon, cocus, essayage, Collègues / Travail chantage, entreseins, Oral préservati, Partouze / Groupe exercice,

    ... d’amarrage. Je ne suis pas le seul voyeur. Max se branle doucement pendant que le couple baise devant lui. Rien de bien nouveau sous le soleil, mais celle qui monte et descend sur le pieu vivant, c’est ma femme. C’est elle aussi qui se caresse le clito alors que son amant joue avec ses mamelles et lui tord les tétons, arrachant des « oui » que je devine. Mais le voyeur n’a manifestement pas la patience d’attendre son tour. Peut-être craint-il que les amants ne durent trop. Il pousse Martine. Veut-il la chasser et lui retirer le chibre sur lequel elle s’active ? Non, c’est autre chose. Je le comprends alors que Max enjambe la banquette à son tour, se place derrière ma femme qui s’est penchée et que je vois dans un geste totalement obscène plaquer les mains sur ses fesses pour, j’imagine ouvrir son petit trou. Il ne va tout de même pas… Mais si ! Déjà il laisse tomber sa salive. Puis, le miroir du plafond me le laisse entrevoir, il guide sa queue d’une main pendant que l’autre se saisit de la fesse malmenée. C’est comme un film au ralenti. Bien sûr, j’ai déjà regardé un DVD de cul, et comme tous les hommes j’ai mis le ralenti au moment où la verge entre dans le con ou dans le cul. Très vite, le corps de Max me cache la vérité mais le visage de ma femme est un livre ouvert. Des yeux qui s’ouvrent, comme ahuris ! C’est le gland qui passe. Cette crispation de la bouche ! C’est le lent cheminement du braquemart dans son conduit. Ce soupir si fort que j’ai l’impression de l’entendre ...
    ... ! C’est le combat des deux serpents qui la possèdent et qui ne veulent pas céder leur place. Les yeux sont fermés maintenant mais la bouche reste ouverte. Elle cherche son souffle comme si l’air n’avait plus assez de place. Elle ne bouge plus. Je guette une nouvelle expression. Rien ! Son enculeur doit attendre avant de reprendre son chemin. Mais je ne suis pas si bon physionomiste que cela. Max s’est redressé et le miroir me livre sa vision propre. Le ventre de l’homme touche les fesses de Martine. Ce n’est pas possible ! Le long bâton de chair a totalement disparu. Max encule ma femme à fond. Ce n’est plus un cul, c’est une fosse pour pouvoir accepter un tel outil ! Encore un exemple de ce que la pratique de la luxure peut apporter. Le trio semble s’animer dans un désordre où chacun cherche le meilleur. Mais Max y met bon ordre par quelques claques sur les fesses sodomisées. Elles calment Martine et l’homme sous elle. C’est l’enculeur qui dirige la manœuvre. Sa puissance est redoutable. Chacun s’accroche à ce qu’il peut, et je crois entendre la pute gémir sous les coups de boutoir. La suite n’est qu’une succession de mouvements où la jouissance domine. Aucun doute que la semence inonde les capotes et ma femme montre tous les symptômes de l’extase. Je suis fatigué. Eux aussi. Manifestement, chacun se rhabille. Martine disparaît un instant, j’imagine pour les raccompagner. À son retour, elle se déshabille aussi et disparaît encore. Certainement que le lavabo des toilettes de ...
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