Foulure Pacifique
Datte: 24/06/2021,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
inconnu,
vacances,
fdomine,
Oral
pénétratio,
... Certes très bien entretenue, coquette et douillette, elle restait cependant très banale. Cette gonzesse devait être tarée, complètement parano et probablement hypocondriaque. Son prompt rétablissement montrait bien que tout se passait dans sa tête. Comme quoi un beau cul, une jolie silhouette, un physique de rêve n’empêchait rien. Sur cette pensée éminemment philosophique, Patrice s’en retourna retrouver une autre mégère. ********** Patrice avait été profondément vexé par la rebuffade qu’il avait subie. Comme le corbeau de la fable, il jura qu’on ne l’y reprendrait plus. Aussi le lendemain matin, lorsque, sur la promenade, il aperçut la femme, il la dépassa sans un regard. Pas question d’être encore humilié. Mais elle le rattrapa, se planta face à lui, l’obligeant à s’arrêter. — Monsieur, je vous demande de m’excuser pour mon attitude impardonnable, lui déclara-t-elle tout de go avec un air misérable. Il aurait dû continuer son chemin, il aurait dû, mais… elle était si jolie avec ses grands yeux noirs papillonnants, avec son air misérable, ses mains nouées sur son ventre. Elle n’était pas seulement jolie, elle était irrésistible. Non seulement il avait envie de lui pardonner, mais presque de s’excuser… Un comble. — Mais non ! Mais non ! Vous n’étiez pas bien. Vous n’avez pas à vous excuser.— Si, cela est nécessaire. Mais vous l’avez bien compris : après un malaise, je ressens un besoin profond d’être seule. Voilà qu’elle reparlait comme un livre. — Je suis une tête de ...
... linotte et j’oublie souvent de porter ma médecine, dit-elle en lui montrant son bracelet. Devant l’air interrogatif de Patrice, elle expliqua : — Je suis atteinte d’une maladie orpheline. Ce bracelet, par de minuscules pointes d’aiguilles, alimente mon sang. Intéressé, Patrice voulut poser d’autres questions, mais elle coupa court. — Je ne pourrais pas vous expliquer, je ne suis pas une scientifique. Je sais seulement que cela me permet de vivre normalement… sauf quand je l’oublie. Elle avait retrouvé son sourire. Aujourd’hui, elle portait une tenue claire qui faisait ressortir son bronzage, soulignait ses formes. Craquante. Qu’est-ce que ça devait être du temps de sa jeunesse !« Faut que j’arrête de la mater ! Elle va me prendre pour un « zobcédé », se dit Patrice. — Pour vous remercier, j’aimerais vous offrir un breakfast à la Française. Hier, elle le virait comme un voleur, aujourd’hui, elle l’invitait. Il ne comprendrait jamais rien aux femmes. — Vous n’êtes pas…— Si, si, j’insiste. Je me présente. Charlotte Steiner. Elle lui tendit la main. — Patrice Tounette, pour vous servir.— Non, non ! Je vous servirai. Plaisantait-elle ? Il n’aurait su dire. Dans l’expectative, il se tut. Avec un naturel déconcertant, elle passa son bras sous le sien et l’entraîna vers sa maisonnette. La veille aussi, son corps avait pesé contre lui, mais il n’en avait même pas eu le même ressenti. Aujourd’hui à chaque pas, un sein dont la fermeté ne faisait aucun doute se pressait contre son bras. Dans ...