1. Foulure Pacifique


    Datte: 24/06/2021, Catégories: fh, hagé, fagée, inconnu, vacances, fdomine, Oral pénétratio,

    ... d’acier, mais elle était trop affaiblie. Patrice le fit pour elle. Il découvrit un mini écran circulaire d’un ou deux centimètres de diamètre. Elle voulut tendre la main droite, mais elle en fut incapable. — Pouvez-vous poser mon pouce droit contre l’écran, s’il vous plaît ? Le portail coulissa sur des rails invisibles de l’extérieur. Une allée bétonnée de quelques mètres puis trois marches pour rejoindre ledeck. Trois petites marches que n’importe quel vieillard un tant soit peu alerte aurait pu monter. Patrice était loin d’être un vieillard, mais lorsque vous traînez un poids mort… Pour ouvrir la porte d’entrée même topo qu’avec le portail, mais cette fois, il dut plaquer la main de la femme contre une cellule identique, mais à la taille de la paume. Drôlement méfiante la donzelle ! La porte coulissa révélant une pièce à vivre banale, neutre, meublée à minima comme souvent en Nouvelle-Zélande, mais plutôt sombre ce qui était plutôt rare dans ce pays de lumière. La seule originalité résidait en la présence de plusieurs orchidées. Deux canapés séparés par une table basse se faisaient face. Cahin-caha, il l’amena à l’un d’eux. Il dut l’installer, car elle n’avait plus la force de s’asseoir. Elle voulut parler, elle dut lui répéter trois fois avant qu’il ne saisisse : — Mon bracelet… Elle était limite mourante et elle voulait un bracelet. Quel bracelet d’ailleurs ! Dans un effort surhumain, elle tendit le doigt vers la table. Effectivement, un bracelet était posé à côté d’un ...
    ... mug. — … au poignet droit, s’il vous plaît.— Il vaudrait mieux me dire où sont vos médicaments— S’il vous plaît, mon bra… Sa voix s’éteignit, son corps s’affaissa. Patrice, affolé, ne savait que faire. Mettre ce bijou lui paraissait si important ! En désespoir de cause, il lui passa au poignet droit. Et maintenant qu’allait-il faire ? Il fallait qu’il trouve ce satané médicament. Il regarda autour de lui. Rien qui ressemblait à une boîte de médoc, un pilulier ou tout autre truc qui aurait pu contenir un remède. Alors qu’il allait se diriger vers une des portes à la recherche hasardeuse d’un médicament inconnu, un bruit attira son attention. La femme avait bougé. Elle le regardait. Elle lui souriait. Un pauvre sourire. La suite le laissa pantois. En quelques secondes, son visage retrouva des couleurs, sa respiration redevint régulière. Son sourire se transforma. — Je me sens mieux maintenant. Vous pouvez me laisser.— Mais…— Ne vous faites aucun souci, je vais bien. Elle se leva, encore un peu chancelante, et le raccompagna à la porte. Tellement abasourdi par cette résurrection, il réalisa qu’il venait de se faire congédier comme un vulgaire livreur, seulement quand la porte se referma derrière lui. Le portail coulissait pour le laisser sortir. Une fois sur leboardwalk, il se retourna et observa la maison. Si ce n’avait été la sécurité renforcée, le mur d’enceinte en briques, il avait devant lui une maison traditionnelle aux murs de bois, au toit recouvert de bardeaux verts. ...
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