Foulure Pacifique
Datte: 24/06/2021,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
inconnu,
vacances,
fdomine,
Oral
pénétratio,
... distraite, plus préoccupé par les jeux de lumière qui tour à tour soulignaient la courbure d’un sein, surlignaient une fesse, dessinaient l’échancrure d’une hanche, révélaient la forme et le volume d’un téton, voire même, instant sublime, la proéminence de son mont de Vénus. Préoccupé aussi par les dimensions que prenait son pénis. Son bermuda n’était pas prévu pour masquer des érections impromptues. Elle allait finir par s’en apercevoir. Bingo ! Elle s’interrompit soudain, le regarda droit dans les yeux et d’une voix sereine lui déclara : — Mon anatomie semble vous intéresser plus que mes propos, Patrice, n’est-il pas ? Il semblerait qu’elle provoque chez vous une nette augmentation de votre virilité. La carpe, bouche ouverte, scotché au canapé. Qu’allait-elle penser de lui ? Il voulut protester, mais avant qu’il puisse décrocher une syllabe, elle continuait : — Il ne faut pas être gêné. Vous me désirez ? Quoi de plus normal ! Nous sommes deux adultes sexuellement actifs. Moi aussi, je vous désire, savez-vous.— …(la carpe épisode 2 !)— Ne me regardez pas avec cet air ébahi ! Combien de temps me reste-t-il ? Vous me plaisez, je vous plais… Cela vous pose sans doute un problème moral ? Drôle de gonzesse. Problème moral et encore quoi ? Ces paroles énoncées sur le ton d’une conversation banale auraient dû le refroidir dans ces ardeurs, mais elles étaient prononcées avec un sourire qui disait « viens goûter à mes lèvres ». Ne trouvant nulle réplique adaptée, il se leva et ...
... alla s’asseoir à côté d’elle. Il l’enlaça. Elle se laissa, une fois de plus aller contre son corps. Il se sentait affreusement bizarre, le mâle primaire/primate la désirait férocement, le fils de prolo avait peur de s’attaquer à une représentante des classes privilégiées, mais surtout, il était envahi par un sentiment de tendresse qu’il n’avait pas ressenti depuis longtemps. Cela le rendait maladroit et lorsqu’elle lui tendit ses lèvres, leur baiser avait la fraîcheur d’un baiser d’adolescents. Il ne dura guère. Il crut lire de l’étonnement dans ses yeux. Elle devait vraiment le prendre pour un demeuré. Elle se détacha de lui et reprit la parole : — Patrice, si nous voulons faire l’amour, vous allez devoir vous doucher et vous nettoyer les parties génitales et aussi la bouche avec les médecines que je vais vous donner. Complètement targe cette gonzesse, pensa-t-il. Il dut le penser très fort. — Cela vous met mal à l’aise, je le conçois, mon ami. La maladie que j’ai ne présente aucun danger pour vous, mais vous pourriez m’infecter et j’en mourrais.— Je suis clean, Charlotte et j’utiliserai un préservatif. Mais je n’en ai pas sur moi. Nous pouvons remettre cela à demain. Il avait dit ça ! Voilà, qu’il parlait comme elle ! Il s’apprêtait à se lever. Elle posa la main sur son bras pour le retenir. — Je vous en prie, Patrice, ne soyez pas vexé. Vous êtes le premier homme avec qui je vais avoir des relations… depuis ma maladie, rajouta-t-elle après une hésitation. Nous n’aurons pas ...