Foulure Pacifique
Datte: 24/06/2021,
Catégories:
fh,
hagé,
fagée,
inconnu,
vacances,
fdomine,
Oral
pénétratio,
... besoin de préservatif, sauf si vous y tenez expressément. Patrice pensa qu’avec sa maladie, il était fort peu probable qu’elle ait le Sida, en prime. Puis les préso, c’était pas son truc. Trois fois sur quatre, il débandait ; ensuite c’était la croix et la bannière pour relancer la machine. Quant à la quatrième fois, il remplissait la capote avant d’avoir fini de la positionner. Il s’empressa de répondre : — Non, je n’y tiens pas plus que ça !— Alors, suivez-moi, mon ami. Et il la suivit. ********** La salle de bain le surprit par sa propreté étincelante. Charlotte entreprit sans aucune gêne de le déshabiller. Il se retrouva Flamberge au vent devant cette femme qui, hier encore était une inconnue. Et Flamberge se la jouait « voyez comme j’en pince pour vous ». — Vous avez un beau membre, Patrice, je suis sûre qu’il saura me donner infiniment de plaisir, mais d’abord entrez dans la baignoire, s’il vous plaît. Et il obéissait. Il ne le regretta pas. Charlotte se déshabilla à son tour. Patrice éprouva une certaine déception. Finalement, il savait quasiment déjà tout de ce corps. Seule surprise, mais en était-ce une en 2016, elle avait le minou intégralement épilé. Elle s’était déshabillée sans hâte, mais sans fausse pudeur, sans aucune de ces contorsions qui caractérisent la première mise à nu devant un homme. Sans fierté, non plus, simplement avec le naturel déconcertant d’une femme sur d’elle-même, de sa beauté. Et elle pouvait l’être Des seins en poire d’où pointaient des ...
... tétons arrogants, un ventre plus plat, tu meurs, un petit abricot mûr à point aux grandes lèvres parfaitement dessinées qui ne cachaient qu’imparfaitement un clitounet aussi fier que les tétons précédemment cités. Un bronzage intégral uniforme apportait la touche finale à ce corps aux proportions harmonieuses. Et lors de leur discussion, elle lui avait avoué se trouver vieille ! Il n’était pas parvenu à trouver le moindre défaut à cette anatomie. Seules ses mains ridées et de fines pattes-d’oie au coin de ses yeux révélaient son âge. Seule, sa taille le dérangeait : il avait dû lever la tête pour capter son regard au moment, où elle pénétrait dans la baignoire, armée d’une lingette.« Elle ne va pas me laver quand même ? », se demanda-t-il. Ben si ! Il passa d’abord sous la douche. Le début ne fut guère agréable : un jet violent projetant des gouttes aussi dures que des glaçons perfora son corps comme autant de minuscules aiguilles. Tout changea dès que l’averse cessa. Charlotte s’agenouilla et entreprit de le laver en commençant par ses pieds. Un instant, il craignit qu’elle ne fasse ça chirurgicalement, cliniquement comme l’infirmière qui l’avait épilé lors de sa dernière coronographie. Un an après, il se demandait encore comment, une nana super sexy avait réussi, en le tripotant allègrement, à réduire son pénis à l’état d’un point virgule à peine visible. Mais que nenni ! Charlotte se montra d’une douceur aphrodisiaque, câline, insistant sur les endroits stratégiques. Elle ...