Photos de famille (4)
Datte: 24/06/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
... Anton chercha de la monnaie dans sa poche pour prendre un préservatif. ─ Tu as pris un risque ? ─ Un petit… Normalement non, mais on ne sait jamais. ─ Tu me devras un autre tour de manège, sans capote, quand tu seras sûr à cent pour cent. Promis ? Elle déchira l’enveloppe et enfila la protection de latex sur la verge. Elle passa ses bras autour du cou d’Anton, l’embrassa et le supplia de lui mettre le feu à la cheminée. Il la souleva comme un fétu de paille ; elle croisa les jambes autour de sa taille. Elle sentit la verge entrer en elle. Il la plaqua contre le mur. Sa langue envahit la bouche d’Ophélie, qui ne donna pas la sienne au chat. À chaque coup de reins, les fesses de la jeune femme cognaient contre le mur. Aucun des deux ne s’inquiéta de savoir si le bruit s’entendait de l’autre côté de la cloison. Elle n’avait pas imaginé qu’Anton serait aussi fougueux ; elle s’attendait au contraire à un peu plus de réticence. Il la pilonnait comme s’il cherchait à rattraper le temps perdu. Lui aussi s’étonna de son ardeur. Cherchait-il à se vider de son énergie ? Ainsi, il ne succomberait plus à Sabrina, ou au moins retarderait l’échéance. La température grimpait en flèche dans cette pièce fermée. La sueur perlait déjà sur leur front ; le rythme n’en ralentit pas pour autant. Les longs cheveux d’Ophélie s’y collaient parfois au gré des secousses. Quand ce n’était pas leurs bouches qui se dévoraient, c’était leurs yeux. C’était toujours fugace. Ils avaient mieux à faire que se ...
... regarder dans les yeux ; croiser leur regard leur suffisait. Ils s’assuraient simplement qu’ils étaient toujours sur la même longueur d’onde, que l’autre ne regrettait pas, finalement. Non, ils ne regrettaient rien ! Les souffles devinrent bruyants comme deux locomotives faisant la course. Elle déboutonna sa chemise, révélant un soutien-gorge, noir évidemment, qui laissait ses petits seins nus. Ils n’étaient pas si menus que ça, mais comparés à la poitrine de Sabrina, ils ne jouaient clairement pas dans la même catégorie. Il plongea la tête sur ces nibards à la peau tendre et blanche. Ophélie gémit au contact des joues non rasées sur son délicat épiderme. Estimant qu’Anton avait assez joué avec sa devanture, elle lui demanda de la redéposer. Elle se tourna, et les mains contre le mur, se campa sur ses jambes. Elle voulait qu’il se déchaîne, qu’il la secoue. Elle voulait être à lui, se donner. Elle eut à peine le temps de tendre la croupe qu’il s’engouffra à nouveau dans son sexe avide. Le pilonnage reprit de plus belle. Elle était heureuse de sentir ce poilu qui partait à l’assaut de sa tranchée. Il l’embrassa dans le cou. Les baisers devinrent rapidement morsures. Elle inclina la tête sur le côté, offrant sa nuque aux dents agressives du photographe. Le temps leur était compté ; il leur faudrait bien libérer la place. Dernière ligne droite. D’ailleurs elle la sentait bien droite, cette ligne qui lui ramonait copieusement la salle de jeu ! Une dernière poussée la colla contre la ...