L'ordinateur complice
Datte: 28/06/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
voisins,
groscul,
poilu(e)s,
ffontaine,
Oral
pénétratio,
... troublante. Ne pouvant me retenir, je me laissai tomber à genoux face à cette splendide croupe à la peau blanche et veloutée, dans laquelle je crochetai mes doigts, écartant largement les fesses rondes et fermes. Avec une émotion d’adolescent, je dénichai l’affolant orifice brun et plissé. Ivre de luxure, je collai ma bouche à l’orifice anal que j’entrepris de lécher avec délectation. J’enfonçais avec sensualité ma langue à l’intérieur des profondeurs mystérieuses de ce cul émouvant. Aussitôt, ma sensuelle partenaire se mit à tanguer sur place, remuant follement son derrière, lançant son anus à rencontre de ma langue fouisseuse. Tout en pratiquant ce baiser anal enivrant, je m’imaginais ma bienheureuse victime penchée sur son fils et faisant d’énormes efforts afin de ne pas dévoiler le plaisir qu’elle éprouvait. Je l’entendis le conseiller d’une voix sourde : — Oui, c’est bien, mon chéri. Continue comme ça ! Les recommandations qu’elle lui donnait étaient pour moi des encouragements à poursuivre l’exploration de son anus. En maintenant ses fesses largement écartées, je vrillai ma langue dans le cul palpitant, léchant les contours sensibles, me régalant de voir la rosace brunâtre frémir doucement sous mon baiser particulier. Sous cette exploration anale, qui devait certainement lui procurer un certain plaisir, Michèle se déhanchait de plus en plus lascivement, me stimulant dans ma prospection. Mais, me sachant pris par le temps, j’abandonnai à regret l’orifice palpitant et ...
... certainement prêt à d’autres pénétrations plus consistantes. Ma chaude voisine avait le cul accueillant. Je glissai alors ma bouche en direction du sexe que je devinais, tapi au centre d’une forêt luxuriante. Michèle possédait une telle pilosité pubienne que je dus m’aider de mes doigts pour écarter les longs poils bouclés, d’un noir de geai, afin de dénicher la longue faille sexuelle. Comme j’approchais ma bouche de la vulve broussailleuse, une forte odeur épicée m’agressa les narines. Grisé par ces effluves odoriférants qui s’élevaient de la chatte aux lèvres écarlates, j’enfonçai, avec un émoi d’adolescent, ma langue entre les longues babines sexuelles. Aussitôt un jus chaud et au goût âcre m’humidifia la bouche. Longuement je léchai les sucs qui émanaient des profondeurs du vagin en fusion, m’enivrant de ce nectar fortement parfumé. Sous mes coups de langue qui lui fouillaient profondément la vulve, Michèle se mit à agiter sa croupe, frottant furieusement sa fente ruisselante contre mon visage, m’engluant le nez et le menton de ses sécrétions vaginales. Vu l’abondance des liqueurs amoureuses qui m’aspergeaient le bas du visage, je jugeai que ma complice avait atteint un degré d’excitation maximum, et qu’il était temps pour moi d’assumer enfin mes fantasmes. J’allais enfin pouvoir enfoncer mon membre dans ce vagin liquéfié, que j’avais tant convoité. Abandonnant alors la chatte ruisselante d’une mouille brûlante, je me redressai. D’un rapide coup d’œil, Michèle se renseigna ...