L'ordinateur complice
Datte: 28/06/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
voisins,
groscul,
poilu(e)s,
ffontaine,
Oral
pénétratio,
... sur les raisons qui m’avaient poussé à abandonner le léchage de sa chatte. Me découvrant debout, la bite hors de ma braguette, elle devina immédiatement mes intentions. D’un hochement de tête, elle me fit comprendre qu’elle était d’accord pour accepter mes assauts. Se cambrant au maximum afin de mieux s’offrir, elle écarta largement ses cuisses grasses, véritables colonnes de chair, fermes et solides. Tout à son jeu, Patrick, inconscient de ce qui se passait derrière lui entre sa mère et moi, avait dû passer au tableau suivant, car j’entendis sa mère le conseiller : — Là, tu peux entrer ! N’aie pas peur… Fonce ! Puisqu’elle me le demandait, j’aurais eu mauvaise grâce à la décevoir. Saisissant ma verge de la main droite, je la dirigeai entre les cuisses charnues de ma chaude voisine, plaçant mon gland dilaté entre les grandes lèvres sexuelles gorgées de désir. — Oui, chéri, lança soudain Michèle à son fils. Défonce-le !… Tu peux y aller ! Comprenant une fois de plus que ces encouragements m’étaient en fait destiné, je lançai mon bas-ventre en avant, faisant pénétrer la totalité de ma queue dans la vulve accueillante. J’eus l’impression de m’enfoncer dans un brasier, tant la femme était chaude. — Voilà, c’est bien, continua Michèle, en s’adressant toujours à son fils. Continue maintenant… Ne t’arrête pas. Puisqu’elle me le demandait, j’obéis sans me faire prier. Crochetant mes doigts dans la chair ferme de ses hanches, le regard fixé sur sa magnifique croupe qui se tendait ...
... vers moi, j’imprimai un mouvement de va-et-vient à mon bas-ventre. Avec un plaisir décuplé encore par la situation, je m’activai dans le fourreau incandescent de ma complice. Malgré la grosseur de ma queue, qui sans être d’une taille phénoménale, possède quand même une dimension raisonnable, je me trouvais au large dans ce corridor charnel. Un excitant bruit de clapotis ne tarda pas à s’élever du sexe féminin baratté. Ma virilité naviguait avec une facilité déconcertante dans un océan de mouille brûlante. Recherchant désespérément l’orgasme qui viendrait me libérer de ce désir qui me torturait le bas-ventre, je me démenais comme un fou contre les fesses tendues, les claquant sauvagement de mon ventre. Ma verge, tendue à m’en faire mal, coulissait rageusement dans la vulve transformée en véritable marais. Michèle mouillait d’une manière incroyable. Sa chatte investie et fougueusement ramonée par mon mandrin de chair ruisselait littéralement, comme si soudain un barrage tapi au fond de son vagin avait cédé et déversait son trop-plein de liquide organique en un flot torride. — Oui, c’est bien, ne cessait de murmurer ma complice, à l’attention de son fils, toujours passionné par sa destruction d’Aliens. Continue… Encore ! Cependant, à me démener de la sorte, je ne tardai pas à sentir le plaisir monter le long de mon membre viril qui s’agitait dans une humidité tropicale. Fixant la large croupe qui avait pris une ravissante couleur rosée, sous les coups répétés que mon ventre lui ...