Je ne me reconnais plus
Datte: 01/07/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... vers l'abandon et nous décidons de lâcher prise avec la réalité, les conventions sociales, le raisonnable... Une immense porte s'ouvre sur tous les possibles, sur toutes les conquêtes, sur toutes les perniciosités et les plus vicieuses permissions... Nous nous regardons un long moment, immobiles, échangeant, par nos regards sans équivoque, des consentements tacites et épicuriens. Lucile brise alors le silence, d'une voix que le trouble rend un peu rauque : « C'est exactement comme si je me regardais dans un miroir... et que Julien me caressait : Je sens intensément ses mains, posées sur moi...à l'instant même ou, en réalité, elles touchent ta peau... » Elle continue de caresser son cou, son visage, sa nuque, plonge ses doigts dans sa chevelure dont elle défait le chignon, laissant tomber sur ses épaules ses cheveux ondulés. Les mains de Julien, dociles, jouent le jeu du miroir et me caressent exactement la ou vont celles de Lucile. Elle s'en rend compte, échange un regard complice et tendre avec Julien, me sourit malicieusement, et commence lentement à descendre une main le long de son cou, vers l'échancrure de son chemisier. Julien suit et ses doigts descendent doucement sur mon corps, sur la peau nue de mon profond décolleté. Lucile se dégrafe d'un bouton, puis deux, puis trois... Elle commence à découvrir son buste et caresse doucement ses épaules, puis la naissance de ses seins. Elle fixe amoureusement les doigts de Julien qui touchent les mêmes endroits de mon corps. ...
... Elle descend alors sa main sur son chemisier pour prendre son sein à travers le tissu brumeux. Je ressens, par avance, les sensations que Julien va me procurer en copiant sa femme et mon souffle s'accélère à cette simple pensée. Il me fait un peu languir...Puis enveloppe enfin mon sein de toute sa paume et le presse légèrement, à travers le drapé de ma robe souple. Je ne peux réprimer un petit gémissement de plaisir, mon mamelon lové dans une douce tiédeur. Lucile recule sa chaise, loin de la table, et chuchote, sensuelle et ludique : « Ô miroir, mon beau miroir,...Je suis ta maîtresse et, seule, je décide de ce que tu dois refléter. » Je la vois maintenant toute entière, ses longues jambes serrées l'une contre l'autre, assise un peu de biais. Elle déborde son chemisier de sa jupe et l'ôte tout à fait. Puis elle dégrafe son soutien gorge et le fait lentement glisser sur ses seins de marbre. Elle laisse tomber, au pied de sa chaise, ses pétales...Elle est d'une très grande beauté. J'ai très envie d'elle... Je ne peux plus me mentir...Ses mains enserrent maintenant, en gestes déliés et tendres, ses globes moelleux. Julien commence alors à défaire les rosettes de ma robe. A la première dénouée, un de mes seins, habillé de dentelle framboise et blanche, apparaît. Lucile soupir d'aise et se malaxe la poitrine avec une passion renouvelée. Julien prend mon sein encore lové dans son écrin et le palpe intensément. De son autre main, il dénoue la seconde rosette...et ma robe tombe sur mes ...