Je ne me reconnais plus
Datte: 01/07/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
... levant des yeux charmeurs vers les siens. Sans le quitter des yeux, je commence à faire aller et venir mes lèvres sur sa colonne de chair bouillante, contrôlant savamment les réflexes de mon corps, lorsque son gland plonge loin dans ma bouche. Je me saisis de ses couilles, dans une main, et je les masse doucement, tout en le suçant. De mon autre main, en passant mon bras sur mes reins cambrés, je me rentre, à mon tour, deux doigts dans le fourreau volcanique et dilaté de mes fesses. Je commence à me masturber l'anus, encore trempé de la salive de Julien, mais aussi, maintenant, du désir de sodomie que mon corps appel de tous ses sens... Julien est fou d'excitation. Il se penche de coté, vers mon entre fesses et, pendant que je lui fait une pipe langoureuses et appliquée, regarde mes doigts aller et venir, dilatant ma petite porte de l'enfer dans un spectacle qui l'enivre totalement. Il caresse mes bas sur mes cuisses, monte masser mes fesses en les écartant d'un geste volontaire, juste assez ferme pour ne pas être brutal. Puis il redescend caresser ma jambe, qui s'offre à la portée de sa main, en passant ses doigts sous ma jarretière, dénudant ainsi la peau satinée de ma cuisse. Il alterne la vision de mon entre fesses offerte, rien que pour lui, avec le reflet, dans le miroir, de la croupe de Lucile, qu'elle doigte toujours avec autant d'ardeur. Celle-ci ne perd rien de la pipe savante que je prodigue à son homme. Elle suce son jouet de silicone comme s'il s'agissait de ...
... la queue de son mari. Ce dernier profite, alors, d'être près de sa femme pour se pencher, de l'autre coté, vers elle. Elle sort le gode violet qui occupe toute sa bouche, et l'embrasse avec passion. Je m'avance à mon tour, abandonnant pour un instant la queue de mon amant, pour me joindre à leur baiser, mêlant ma langue aux leurs. Après notre long baiser fougueux et collectif, Lucile décide, impatiente, de s'introduire son gros gode vibrant dans le fondement. Elle le pose contre son bouton de rose, à peine refermé, et pousse l'entrée souple qui l'accueil généreusement. Lorsque la bague de son anus passe les premiers centimètres, que le gland de gel violet est entré dans la chaleur de son cul, elle pousse un gémissement bref, suivi d'un râle de plaisir. Nous la regardons tout deux, Julien et moi, dans le miroir, pousser le gode dans la fournaise profonde de son corps. Elle miaule de petits « ohhh » de jouissance et finit par le rentrer jusqu'à la garde, dans son étui anal. Je regarde la fascinante bague de chair sombre, entre ses fesses rondes et laiteuses, sucer avec langueur le gel transparent du gros gode. Je sens alors mon cul éclore radieusement, comme une fleur, invitant Julien à me posséder de toute la longueur de sa belle queue. Il pose ses mains sur mes hanches et appuie légèrement pour m'inviter à me cambrer. Lucile a repris ma main et la serre, en me suppliant dans un souffle : « Racontes moi tes sensations, ma chérie, je t'en prie...» Je m'appuie de nouveau sur la ...