1. Je ne me reconnais plus


    Datte: 01/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... table et me penche vers Lucile. Nous nous embrassons sensuellement, pendant que je sens Julien poser son gland brûlant sur ma fleur épanouie. Me prenant avec détermination par les hanches, il commence à me pénétrer avec une facilité à laquelle je n'étais encore jamais parvenue lors d'une sodomie. Je gémis de plaisir dans la bouche de Lucile. Julien m'encule si profond que je sens les poils de son pubis caresser la raie de mes fesses à chaque pénétration. Je tente de reprendre mon souffle en interrompant mon baiser avec Lucile. Je lui cris presque mon excitation à me faire prendre de cette manière par son mari...devant elle...pour elle...je lui décrit, de mots crus qui brûlent mes lèvres, ma fleur de Sodome ouverte, avalant avidement la queue puissante de son homme. J'évoque fiévreusement son gland, gonflé d'excitation, qui ondoie follement aux plus intimes tréfonds de mon corps. Je lui parle de ses mains, fermement plaquées sur mes hanches, qui guident vigoureusement mon bassin en arrière, claquant mes fesses ouvertes sur son ventre ferme. Lucile me sourit et ferme ses paupières pour savourer mes paroles. Elle me répond, la voix tremblante et essoufflée : « J'ai envie de m'occuper un peu de toi, moi aussi, ...Tu veux?... » Mon regard trouble lui répond sans ambiguïté. Elle retire son gode de ses entrailles, entre ses reins cambrées, le pose sur la table et tend ses bras vers moi. Elle prend mes seins dans ses mains et les malaxe doucement et passionnément. Une vague de ...
    ... plaisir me submerge et je noie mon cri de plaisir dans sa bouche, ma langue léchant avidement la sienne. Je cherche à tâtons les globes généreux de sa poitrine. J'en rêve depuis qu'elle s'est déshabillée tout à l'heure, mais je voulais respecter les règles de notre jeu de miroir. Ses tétons sont durs et tendus à l'extrême. Je les pince légèrement entre mes doigts et Lucile se met à gémir bruyamment dans ma bouche. Je respire son souffle... Un court instant, j'ai la sensation véritable, profonde et viscérale, d'être devenue elle! C'est alors, au bout de quelques minutes d'intense plaisir, que Lucile interrompt notre baiser et prend une merveilleuse initiative. Elle demande, en faveur, à son mari : « Mon Amour, allonge toi sur le dos, s'il te plait. » Julien se retire doucement de la fournaise de mes fesses et s'exécute. Il s'étend sur le tapis persan du salon. Lucile contourne alors la table et nous rejoint. Sa démarche élégante et racée, son corps nu, haussé sur les talons de ses bottines blanches, ses jambes déliées, gainées de ce rose tendre si féminin, me procurent de nouveaux émois. Elle prend ma main, me conduit auprès de Julien. De quelques gestes délicats, elle me guide pour que j'enjambe son mari, lui tournant le dos. Elle imprime alors une légère pression explicite sur mes hanches pour que je m'accroupisse, mes chaussures hautes à lanières de chaque coté des hanches masculines. Elle prend amoureusement le sexe dressé de Julien, écarte habilement mes fesses des doigts ...
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