1. Je ne me reconnais plus


    Datte: 01/07/2021, Catégories: Partouze / Groupe

    ... bottines blanches un peu rétro, avec des boutons qui remontent haut sur la cheville, donnent une touche finale d'originalité et de sex-appeal à sa silhouette. Je souris intérieurement à l'idée de lui demander : « aurais-tu la gentillesse de danser un french cancan pour moi? ». Je regarde discrètement ses hanches danser langoureusement sous mes yeux, en la suivant, mais je prends soin de ne pas me faire remarquer de Julien : Il ne me quitte pas des yeux et se ferait un plaisir moqueur de me regarder malicieusement du coin de l'œil, comme il l'a déjà fait avec la photo de son agenda. Pour sa part, Julien a mis un jean serré, et le renflement prononcé, le long de sa cuisse gauche, me laisse penser qu'il ne porte pas de sous-vêtement. L'idée de deviner son corps ferme et ses fesses rondes, à un petit millimètre derrière la surface de l'étoffe que je vois, fait galoper mon imagination. J'ai toujours rêvé de découvrir la queue d'un homme simplement en ouvrant, directement et effrontément, les boutons métalliques de sa braguette...sans lui laisser le temps de bander...et de sentir son membre gonfler dans ma bouche, au fur et à mesure que ma langue le lèche et que j'aspire, en la tétant, cette chair souple, chaude et vivante. Je reviens un peu à la réalité en entrant dans leur salle/salon : Un parquet en bambou, d'une chaleureuse teinte miel, est parsemé de tapis orientaux. Deux larges canapés et un fauteuil, en cuir coquille d'œuf, entourent une table basse carrée, en bois rouge. ...
    ... Sur celle-ci trônent déjà trois cocktails maison et quelques gourmandises à grignoter. La table est mise, à côté, décorée de bougies. Une magnifique vaisselle est disposée sur une nappe d'un vermillon très chaleureux. Toute la pièce n'est éclairée que par les bougies et deux ou trois lampes basses posées sur des meubles. Les murs, peint en plusieurs déclinaisons de rouges volcaniques mats, contribuent à une atmosphère enveloppante et extrêmement intimiste. Un grand miroir de pied décore le mur du fond, tandis qu'une bibliothèque imposante en occupe un autre. Nous parlons spontanément à voix basse, du moins sans éclats inutiles. Je me suis installée dans un profond canapé. Julien m'a tendu un cocktail, qui s'est avéré être à base de Rhum. Rien de tel qu'un alcool sourd pour une légère ivresse du soir...Lucile, assise dans le canapé qui me fait face, me parle doucement en regardant, sans aucune gène, mes jambes découvertes. Lorsque je me penche pour saisir quelques bricoles salées, son regard plonge, avec, semble-t-il, quelques voluptés, dans l'échancrure de mon décolleté. Julien, assis à mes cotés, dans le fauteuil, semble ravi de la séduction que j' opère sur son épouse. Il ne perd pas non plus l'occasion de photographier, dans sa mémoire masculine, les quelques centimètres carrés que mes gestes dévoilent furtivement de mon corps. Lucile me ressemble beaucoup. Elle est très élancée et apporte beaucoup de soin à son allure. Elle a une gestuelle subtile et élégante de danseuse, ...
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