1. Un petit déj' parisien


    Datte: 10/11/2017, Catégories: fh, ff, nympho, grossexe, grosseins, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, historique, historiqu,

    Le soleil darde ses rayons à travers les persiennes. Caroline ouvre un œil et revient lentement à la conscience. Le voyage en diligence, Paris, Elodie… Elle sent la soie sous ses doigts. Elle est allongée nue sur le lit, le drap est à ses pieds. Ses cheveux sont défaits. Elle hume le parfum musqué qui règne dans la pièce. Elle contemple les murs aux tons pastel, la garde-robe au grand miroir, sa robe et ses sous-vêtements abandonnés sur la chaise. Caroline se complaît dans ce doux état de demi-sommeil. Le souvenir de son aventure d’hier soir avec Elodie fait renaître son excitation. Sans même s’en rendre compte, elle écarte légèrement les cuisses et commence à se caresser. Mon Dieu, que la domestique a été habile pour lui donner du plaisir. Elle doit se retenir de prendre la sonnette pour l’appeler immédiatement. Elle veut d’abord se calmer, et puis il ne faut pas qu’elle donne l’impression d’une jument en chaleur. Qui sait si la soubrette n’ira pas tout raconter à sa mère ? Elle résiste aussi à l’envie de poursuivre ses caresses et de se branler jusqu’à l’orgasme. C’est agréable, le plaisir au réveil, mais quelque chose lui dit que la journée sera pleine de surprise, et qu’il lui faut garder quelques réserves si elle veut en profiter. Elle se lève donc à regret. Tiens, pendant son sommeil, la soubrette a vidé sa malle et rangé ses affaires. Elle en est un instant contrariée : elle y avait caché quelques objets et quelques vêtements dont elle préférait dissimuler l’existence ...
    ... à sa mère. Qu’aura pensé la soubrette en les découvrant ? Qu’importe, Elodie est une petite vicieuse que rien ne doit étonner. Elle se dirige vers la garde-robe. Elle sourit à son reflet dans le grand miroir. Elle trouve toujours son corps nu très excitant. Elle est si fière de ses gros seins arrogants, qui ont une fermeté insolente malgré leur poids. Maîtrisant difficilement l’envie de se donner du plaisir face au miroir, elle ouvre la garde-robe et choisit un habit léger. Elle l’enfile, et décide de partir à la découverte plus approfondie de la maison. Quittant discrètement sa chambre, elle s’arrête d’abord devant la porte de sa mère. Elle tend l’oreille, mais n’entend aucun bruit. Est-elle là ou pas. Elle n’ose glisser sa tête, et passe à la porte suivante. C’est celle d’Elodie. Là non plus, elle n’entend aucun bruit. Elle n’hésite pas à entrouvrir la porte. Si la domestique dort encore, elle la caressera pour la réveiller. Peut-être feront-elles l’amour ? Mais Caroline est déçue. La chambre est vide. Peu d’objets ont bougé depuis hier. Elle remarque juste que l’objet en bois qui ressemble à un énorme phallus ne se trouve plus sur la table de nuit, mais repose sur le lit, comme s’il avait été utilisé cette nuit. Elle entre dans la pièce, referme doucement la porte derrière elle. Elle prend l’olisbos. Il est gras, il sent le sexe de femme. Elle hume les draps, elle y retrouve l’odeur chaude de sa domestique, et cela provoque une poussée d’excitation dans son bas-ventre. Sur ...
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