Un petit déj' parisien
Datte: 10/11/2017,
Catégories:
fh,
ff,
nympho,
grossexe,
grosseins,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
historique,
historiqu,
... défoncer la moule, et te secouer tes gros nichons.— Oui, vas-y, plus fort. Oh, je la sens tout au fond de mon con. C’est bon. C’est bon.— Je sens que je vais bientôt exploser, je vais te gicler mon foutre dans le con.— Non, attends, viens, viens sur me seins, j’adore quand tu gicles sur mes seins. Le valet retire précipitamment son sexe, il grimpe sur la table, et commence à branler son énorme phallus au–dessus de la poitrine de la soubrette qui a pris ses deux seins et les secoue violemment. Une première giclée de sperme jaillit et atterrit sur les seins, suivie de plusieurs autres. La soubrette répand avec délectation le sperme sur ses beaux nichons. Excitée par le spectacle, Caroline jouit à son tour en réprimant son envie de gémir. Calmée, elle se rapproche à nouveau de la fenêtre pour épier la suite. Le valet redescend de la table. Il se rhabille prestement, sans même essuyer son pénis encore gonflé. Il embrasse sa partenaire, puis quitte rapidement la cuisine. Elodie continue un instant à se masser les seins, pour bien étaler la semence, Elle se lèche les doigts avec délectation. Puis elle se rhabille à son tour. Elle se dirige vers évier, et commence à faire la vaisselle. Caroline rajuste sa robe, rentre dans la maison et pénètre enfin dans la cuisine. Elodie se retourne, lui sourit comme si de rien n’était, les joues encore roses de son plaisir. Caroline se dirige vers elle et, sans hésiter, l’embrasse sur la bouche ! Elodie est surprise, mais n’a pas le temps de ...
... réagir. On pourrait les voir ! Mais Caroline n’en a guère cure. Elle accentue son baiser, darde sa langue. Le goût du sperme est encore présent, très puissant. La petite salope le gardait dans sa bouche ! Caroline commence à la taquiner : — Alors, ma chère Elodie, bien dormi ?— Et vous Mademoiselle ? En tout cas, vous ne vous êtes pas réveillée quand j’ai rangé vos affaires !— Quel est donc ce goût que je trouve sur tes lèvres ?— Quel goût, Maîtresse ?— Celui que je viens de trouver, pardi ! Pourquoi rougis-tu ?— Je ne sais pas. Je ne vois pas de quoi vous voulez parler.— Ce n’est pas grave. Dis-moi, je meurs de faim. Qu’y a-t-il à manger ?— Je vais vous préparer un petit déjeuner qui vous redonnera des forces : pain, œufs sur le plat, marmelade d’oranges…— De la marmelade d’oranges. Jamais je n’ai goûté à cela.— Nous sommes à Paris, vous découvrirez encore des tas d’autres choses merveilleuses.— Aussi merveilleuses que toi ?— Maîtresse ! Elodie commence à s’affairer à la préparation du petit-déjeuner. Caroline prend plaisir à l’observer. Lorsqu’elle fait quelque chose de difficile, Elodie se parcourt les lèvres du bout de la langue. Elle chantonne doucement. Quand elle se penche en avant, le poids de ses seins fait béer son bustier. Au moment où elle pose l’assiette sur la table, Caroline s’approche par derrière elle, lui empaume les nichons et la serre contre elle. Elodie tourne la tête, pour que Caroline puisse l’embrasser à nouveau. Elles se font des jeux de langue. Caroline ...