Un petit déj' parisien
Datte: 10/11/2017,
Catégories:
fh,
ff,
nympho,
grossexe,
grosseins,
soubrette,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
Oral
pénétratio,
historique,
historiqu,
... la chaise, des bas, des dessous, dont elle respire également l’odeur. Craignant quand-même d’être surprise par quelqu’un dans la chambre de la soubrette, elle s’arrache au plaisir de fouiller son intimité et ressort de la chambre. Il y a encore d’autres chambres à cet étage. Elle décide de les visiter plus tard. Elle a terriblement faim : les ébats d’hier ont creusé son appétit, et elle n’a pas dîné ! Sans faire de bruit, elle descend au rez-de-chaussée et se dirige vers les cuisines. Elle va ouvrir la porte, quand elle entend des gémissements. Puis une femme parle de manière étrange. Elle reconnaît la voix d’Elodie, mais ne peut comprendre ce qu’elle dit. Son intonation est bizarre, ses mots saccadés. Elle se penche, et risque un œil par le trou de la serrure. Sous ses yeux, les gros seins d’Elodie s’agitent en cadence ! Le champ de vision à travers la serrure est assez étroit. Caroline voit seulement que la soubrette, penchée en avant, se tient à la table de la cuisine. Elle ne voit pas son visage, elle ne voit pas non plus sa croupe, mais le doute n’est pas permis : elle se fait prendre par un homme, qui la ramone avec énergie. Les coups de boutoir secouent ses superbes seins, dont elle attrape de temps à autre un bout pour le triturer. L’œil collé à la serrure, Caroline écarte les plis de sa robe, et trouve le chemin vers son sexe. Elle écarte un peu les jambes et commence à se caresser. Énervée, elle voudrait voir le reste de la scène. Qui est en train de saillir sa ...
... soubrette ? Est-il nu, ou a-t-il gardé ses habits ? Est-ce qu’il est beau, est-ce qu’il est bien monté ? Qu’est-ce qu’il lui prodigue comme caresses ? Et elle, est-ce qu’elle prend son plaisir ? Est-ce qu’elle le regarde, ou est-ce qu’elle a les yeux clos ? Caroline est curieuse, et brûle d’envie d’ouvrir la porte. N’y a-t-il pas un autre moyen de les observer mieux ? Elle se relève, se dirige vers la droite. Le couloir forme un coude pour mener vers la cour arrière et le jardin. Elle sort de la maison, et trouve immédiatement ce qu’elle cherchait : elle s’approche de la fenêtre de la cuisine, et contemple la scène. Elodie est complètement nue, les cuisses largement écartées, appuyée sur la table. La tête baissée, elle regarde ses gros seins qui s’agitent entre ses bras. Derrière elle, nu également, un jeune homme la tient par les hanches et la laboure en rythme. Son visage est quelconque. Sans doute un valet, pense-t-elle. Mais il a un corps superbe. Il est grand, les épaules larges, les cuisses puissantes, le cul musclé. Un vrai Apollon. Et, pour autant qu’elle puisse en juger, il est monté comme un étalon. Son beau phallus est tout veiné, très gros et très long. Elodie grimace du plaisir de sentir cette grosse queue lui défoncer la moule. Caroline oublie que quelqu’un pourrait la surprendre, et ne peut résister. Elle écarte à nouveau ses vêtements et recommence à se branler. Ses doigts parcourent sa fente déjà poisseuse, taquinent son bouton déjà érigé. Elle retrouve le ...