1. Un petit déj' parisien


    Datte: 10/11/2017, Catégories: fh, ff, nympho, grossexe, grosseins, soubrette, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation Oral pénétratio, historique, historiqu,

    ... plaisir du voyeurisme qu’elle a si souvent pratiqué à Rennes en observant ses parents, et tous ceux qui avaient fait de leur maison un lieu de débauche quasi permanent : les nombreuses maîtresses de son père, Bérangère, la soubrette aux gros seins, Adeline, la blanchisseuse plus chaude que ses fers à repasser, Charles, le laquais qui n’avait rien à envier à ses étalons, Gérard, le serviteur zélé qui aidait parfois son père à combler ses maîtresses, le jeune valet Dominique qui avait découvert le sexe avec la jolie Louise, la cuisinière, qui connaissait tant d’usages pour les légumes de saison, et qui devait sans doute ajouter quelque ingrédient secret à ses préparations pour rendre tout ce monde assoiffé de stupre. Sous ses yeux, les deux amants changent de position. Le valet se retire. Caroline découvre avec intérêt son énorme gland tout luisant et violacé. Bon dieu, que ça doit être bon, de se faire enfiler ça dans tous les orifices. Elodie s’assied sur la table, écarte les cuisses, et commence à se caresser les seins. Le valet s’accroupit à ses pieds, il commence à lui lécher le clitoris, tout en enfonçant deux doigts dans son sexe. De l’autre main, il se masturbe consciencieusement. Son vit est décidément impressionnant. Caroline comprend le plaisir que Elodie peut trouver à se faire enfiler par une telle queue. Sans doute le valet est-il proche de son orgasme, car il interrompt rapidement son branle, pour se consacrer entièrement à sa partenaire. Sans cesser de lui ...
    ... lécher le clitoris, il enfonce ses doigts en rythme dans le sexe poisseux. Puis il commence à lui taquiner la rosette, lui imprime de petits massages circulaires avant de forcer l’entrée avec son pouce. Prise des deux côtés, Elodie cambre les reins et ondule de plaisir. Ainsi donc, elle aime aussi les plaisirs de Sodome ! Elle se couche sur la table, et écarte encore davantage les cuisses pour faciliter à son amant l’accès à ses trésors. Celui-ci n’en peut plus de désir devant ce sexe béant. Il se relève, prend sa grosse queue dans ses mains. Il approche le gland, le glisse entre les lèvres, et s’enfonce lentement jusqu’à buter au fond du vagin. Elodie noue ses jambes derrière son dos, comme pour mieux l’enfoncer en elle. Il reprend ses mouvements de va-et-vient, plus rapides cette fois. Les gros seins d’Elodie sont secoués par les coups de boutoirs. Elle suce ses doigts, puis commence à se branler le bouton. Elle commence à gémir très fort, puis jouit en tremblant de tous ses membres. Le valet continue à la labourer en cadence, et prend plaisir à lui agiter ses nichons. Elodie recommence à les caresser, elle prend son sein gauche et en porte le bout à ses lèvres pour le sucer. Elle n’est plus maîtresse de son plaisir, et gémit sans discontinuer, s’interrompant seulement pour encourager son partenaire : — Oui, vas-y, mets-la moi, défonce-moi avec ta grosse bite. Oh oui, plus fort. Comme cela.— Tu l’aimes bien, hein, ma grosse queue.— Tu me rends folle, je jouis !— J’adore te ...