Une amie qui vous veut du bien
Datte: 06/07/2021,
Catégories:
f,
fh,
ff,
hplusag,
jeunes,
danser,
fête,
vengeance,
jalousie,
Masturbation
Oral
extraconj,
... fleurs d’oranger. Le résultat de cet assaut fut pour elle bien loin du ravissement vanté par certaines camarades de couvent qui avaient convolé avant elle – ou qui avaient eu la folle audace de prendre un amant, ces dernières étant d’ailleurs les plus convaincantes. Alex l’avait donc vigoureusement besognée. Comme elle savait que les messieurs tiennent à donner du plaisir à leur partenaire, elle fit quelques ah ah ah accompagnés de soupirs et de gémissements. Ces derniers n’étaient pas feints car elle avait mal. À l’issue de sa gymnastique, le comte Alex, en sueur, se montra fort satisfait à la vue du sang qui tachait le drap de la compagnie internationale. Puis il s’endormit. À Venise, elle trouva que les orchestres de la place Saint-Marc ne jouaient que des airs vulgaires. Mais des gondoliers aux pantalons noirs et moulants la regardèrent avec une évidente convoitise, et cela lui fut agréable. Peut-être sauraient-ils mieux s’y prendre que mon mari, pensa-t-elle, mais comment oseraient-ils s’attaquer à moi ? Dans leur chambre de l’hôtelCavalletto e Doge Orseolo, le comte lui brutalisait les seins, affirmant que cela ne manquerait pas de les faire grossir, et faisait entrer en elle un sexe qu’elle trouvait d’une grosseur et d’une longueur démesurées. Quant à accepter de prendre ce membre entre ses lèvres, comme son mari le lui demanda parfois, il n’en était de toute évidence pas question. Elle jugea vite superflu de feindre une jouissance qu’elle ne ressentait pas. Une fois ...
... le comte endormi, elle glissait son majeur tout en haut de sa fente enfin soulagée de n’être plus bestialement investie et se donnait un plaisir doux et tranquille, comme elle l’avait fait pendant des années dans son petit lit du couvent des Sœurs de l’Assomption, en songeant à des jeunes gens beaux et doux comme des anges. Le voyage de noces terminé, le comte Alex reprit ses activités à la banque et à la Bourse. La belle-mère de Béryl s’étonna bientôt de ne pas la voir grosse. Béryl ne trouva rien à lui répondre. Elle pensait, naïvement, qu’on ne peut le devenir qu’après avoir éprouvé la jouissance du coït et qu’en conséquence son petit ventre n’était pas près de devenir difforme. C’était au moins un avantage. Je me doutais bien qu’il allait voir ailleurs, se dit-elle en relisant la lettre. Comme cela m’évite une corvée, je m’en féliciterais s’il ne s’agissait pas de Camille. Camille ! Cette amie d’enfance mariée à ce joli jeune homme si distingué, si délicat. Trop, peut-être ; il doit lui falloir de la sauvagerie, à cette délurée qui doit bien rire de moi ! Elle ne lui refuse sûrement ni ses lèvres ni ses reins. Oh ! Grand bien lui fasse, après tout ! Au cours de la nuit qui suivit, Béryl se caressa en songeant pourtant à Dominique de Montalvent. Elle s’imagina les cuisses ouvertes et les lèvres du vicomte posées sur sa fente mouillée. En effet, Camille – justement Camille – lui avait dit un jour que c’était divin. Devant l’étonnement de Béryl, elle avait compris que cette ...