1. Une amie qui vous veut du bien


    Datte: 06/07/2021, Catégories: f, fh, ff, hplusag, jeunes, danser, fête, vengeance, jalousie, Masturbation Oral extraconj,

    ... dernière n’avait jamais eu droit à cette gâterie, comme elle avait dit. C’est pourtant si facile, ma chérie, avait-elle ajouté avec un beau sourire : il suffit de dire oui. Pourtant, Camille trahissait ce pauvre Dominique, et avec Alex ! Eh bien, je dirai oui à Dominique, se promit Béryl. Je vais le conquérir, car il faut bien que je me venge. Camille me prend mon mari, je prendrai le sien, c’est tout simple. Je le séduirai samedi, au bal de la marquise. Dans l’après-midi du samedi, Béryl prit un bain. Contrairement à ses habitudes, elle ne s’y caressa pas, tant elle était préoccupée par la pensée de ce qui allait suivre. Elle savait qu’elle plaisait aux hommes, mais d’ordinaire se voulait inaccessible. Dominique n’allait-il pas la décevoir, lui aussi ? Elle se parfuma à l’eau de toiletteSenteur des champs de Guerlain. Sa femme de chambre lui apporta les sous-vêtements choisis dans l’après-midi. Être nue devant cette jeune fille qui affichait pour elle une admiration éperdue ne gênait pas du tout Béryl, bien au contraire. La soubrette accrocha les bas au porte-jarretelles parme, en s’extasiant sur sa couleur, tellement moins banale que le blanc. Béryl pensa à la vendeuse aux allures coquines qui le lui avait conseillé, et qui avait même osé lui proposer quelques culottes fendues de la même couleur, qualifiées par elle d’affriolantes. En riant, Béryl avait refusé, se défendant d’être une femme de mœurs légères. Son court jupon bordé de dentelle d’Alençon devait bien suffire ...
    ... à recouvrir son triangle noir ! Mais il fallait avant supporter le laçage du corset. La jeune fille venait de commencer l’opération quand Béryl proclama soudain qu’elle n’en voulait pas, de ce corset. — Madame la comtesse n’y pense pas, protesta la soubrette.— Je ne mettrai pas de corset ce soir !— Comme Madame la comtesse voudra. Quelle robe Madame la comtesse désire-t-elle choisir ?— La bleue, au décolleté profond.— Madame la comtesse va plaire !— Peut-être, Françoise, peut-être.— Madame la comtesse est si belle !— Crois-tu, Françoise ?— Oh ! Madame la comtesse ne l’ignore pas. Camille va sans aucun doute me faire bonne figure, elle qui prétend m’aimer beaucoup, se disait Béryl en se rendant chez la marquise. À son côté, son mari était impassible, voire même renfrogné. Ils vont se voir et ne pourront pas… baiser, pensa-t-elle. Baiser, encore un terme que lui avait appris Camille le jour où, dissimulées derrière une haie de troènes, elles avaient regardé le jardinier de ses parents et la petite cuisinière. Il avait baissé son pantalon, montrant ainsi son gros membre violacé. Vois comme il bande, avait murmuré Camille ; il se branle un peu, puis il va la lui mettre dans le con : il va la baiser. C’est dégoûtant ! Et Camille, haletante et rouge, avait tenté d’embrasser Béryl en la serrant très fort dans ses bras. Béryl l’avait repoussée, pour mieux voir. La femme de chambre grognait son plaisir en griffant les fesses du jardinier qui montaient et descendaient de plus en plus ...