Sexe et laideur sont compatibles
Datte: 06/07/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
hplusag,
groscul,
laid(e)s,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
fdanus,
fsodo,
... Peut-être le regrettais-tu ? ». Je ne sais pas pourquoi mais, ce soir-là, je me sens toute excitée. C’est rare que cela me titille comme ça et que j’ai autant envie de me caresser. C’est vrai que, depuis quelques mois, je me touche de plus en plus souvent. Je me suis abonnée au câble et je suis tombée sur des films érotiques. Je dois avouer que j’en ai regardé un certain nombre. Certains m’ont révoltée, mais d’autres m’ont troublée et j’ai appris pas mal de choses. Il m’est arrivé de me toucher en les regardant. Après tout, cela ne fait pas de mal de se faire du bien et, bien calée dans la banquette moelleuse de mon appartement, je ne fais de mal à personne. Alors, qui viendrait s’en plaindre ? Mais ce soir-là, c’est très spécial, l’ambiance est électrique, je me sens vraiment toute chose. L’orgasme vient très rapidement et est beaucoup plus fort que d’habitude. Je laisse encore passer trois ou quatre jours, mais je ne peux pas dire que ça ne me travaille pas dans la tête ! Un soir après dîner, je suis devant la télévision, je zappe, rien d’intéressant. Je coupe le son et m’approche du petit carton que j’ai posé bien en évidence tout près du téléphone. Je suis convaincue que je vais la faire un jour ou l’autre, cette bêtise. Alors, maintenant ou plus tard, peu importe ! Je décroche le téléphone, compose lentement le numéro du portable, je suis toute tremblotante. J’espère qu’il n’y aura personne. Un coup, deux coups, trois coups, et merde, on décroche : — Allo.— Allo ? ...
... Mathias ?— Lui-même ! Qui est à l’appareil. J’hésite entre raccrocher et dévoiler mon identité. — C’est Agathe (Je l’annonce avec une toute petite voix).— Agathe ? … Ah oui, Agathe ! Ok, je te remets.— Vous… euh enfin, tu m’avais dit que je pouvais appeler.— Tu peux parler plus fort, s’il te plaît, Agathe, parce que là je suis en boîte, et il y a vraiment un boucan d’enfer.— Excuse-moi, je ne voulais pas te déranger.— Attends, je vais sortir, je n’entends rien du tout. Je l’entends faire du bruit, bouger quelque chose, un verre que l’on vide, une chaise qui couine. « Excusez-moi les filles, je reviens ». Mais avec qui est-il ? Je n’aurais jamais dû appeler. Mais maintenant, il est trop tard. — Excuse-moi Agathe. Ça y est, je suis dehors. Mais il s’interrompt encore pour parler à quelqu’un d’autre : « Oui, c’est promis, je te vois tout à l’heure. Et grosse bises à Nathalie ». Ses apartés s’éternisent. Et moi dans tout ça… je commence à perdre patience et en plus, je me sens un peu jalouse. — Alors Agathe, comment va ?— Bien.— Toujours aussi bandante ? Je marque un temps d’arrêt, le silence s’installe, pesant, il ne m’aide pas. Puis je me jette dans le précipice : — Je pensais… qu’on pourrait peut-être se voir… un de ces soirs. « Arrête, qu’est-ce qui te prend, tu fais n’importe quoi ? ». J’ai beau me raisonner mais cette fois, la bêtise est faite. — Et pourquoi pas ce soir, répond-il prestement. Tu es chez toi ? Je prends ma voiture et puis j’arrive. Ça te convient ?— Mais tes amis ...