Sexe et laideur sont compatibles - Histoires de Sexe

Sexe et laideur sont compatibles

... veuilles pas car, à deux, on t’aurait mieux baisée… Ils grillent une cigarette puis je les vois remonter lentement dans la voiture. — T’es toujours là Agathe ? Alors c’est toujours non ?— Non-Oui ou Non-Non ? Je ne sais plus où j’en suis. La voiture redémarre et tourne au coin de la rue. Ils sont toujours au bout du fil, mais ils bavassent entre eux. Deux jeunes garçons pour moi toute seule… ça me rappelle un film porno que j’ai vu récemment. C’était plutôt pas mal. — C’est oui, c’est d’accord, revenez (Je crie dans l’écouteur, c’est nerveux). Ils rient. La voiture est déjà là. Ils ont juste fait le tour du pâté de maison. Comment pouvaient-ils être certains que j’allais finir par accepter ? Ils sonnent déjà à la porte. Je vais ouvrir sans me précipiter. — Champagne, ma belle ! Tu as des verres ? On va fêter ça. L’autre garçon est beaucoup plus jeune que Mathias. 18-20 ans. Il est timide et rougit en me voyant. — Hervé, je te présente ma copine Agathe. Agathe, voici Hervé qui aime beaucoup tes grosses fesses. Il me tend une flute de champagne. Nous trinquons tous les trois. — Et maintenant, si tu nous montrais ton cul ma belle ! Mathias est vraiment sans gêne. Ils s’assoient sur le divan et me font mettre devant la télé. — Tourne-toi et retire lentement ta jupe. Je n’ai pas l’habitude de ce genre de péripétie, je me sens gauche et maladroite dans ce strip-tease improvisé qui n’a pourtant pas l’air de leur déplaire. — T’as vu le derrière qu’elle a Agathe ! J’en ai jamais vu de ...

... comme ça. Il est vraiment maousse-costaud ton derrière, Agathe. Putain de derche, il donne vraiment envie. Vas-y Hervé, ne te gêne pas, fais comme moi, libère-toi. Je tourne légèrement la tête, Mathias a déjà son sexe en main et Hervé déboutonne lentement sa braguette. Ma culotte rejoint ma jupe par terre. — Ôte aussi ton t-shirt, il est beaucoup trop long, on ne voit pas le haut de tes fesses. Au point où j’en suis, j’obtempère. Je n’ai pas de soutien-gorge, je le retire souvent le soir quand je rentre à la maison. — Oh, la cochonne, elle ne met pas de soutif, commente Hervé.— Vingt Dieux, t’as une sacrée bite mon gars, complimente Mathias. Regarde-moi ça, Agathe l’engin qu’il a mon pote. Je tourne la tête par curiosité, mais je ne remarque rien de spécial, rien de vraiment extraordinaire. Peut-être le sexe de Mathias est-il, lui, par contre, un peu petit, plus petit que celui qu’avait mon premier amant par exemple. Mais qu’importe, moi je m’en fous, chacun est comme il est. Et il l’aurait en tire-bouchon que je m’y serais tout autant intéressée. — Tourne-toi qu’on voit le côté face ! Je me retourne, je suis très gênée. Mes petits seins en poire me complexent énormément. Mes deux visiteurs n’en perdent pas une miette. Ils se branlent de concert en me matant. Je ne sais plus trop quoi faire. Peut-être dois-je faire de même, me caresser comme eux ? Je pose ma main sur ma foufoune et me la frotte doucement. — Viens nous retrouver Agathe. Viens nous montrer ce que tu sais faire ...