Claude-Marie: Cahier 1
Datte: 11/11/2017,
Catégories:
Transexuels
... moi. Rapidement, je sens que la jouissance monte en moi. Florence prend ma main gauche et la place au bout de mon gland, la paume vers le haut. Elle utilise le pouce de sa main droite qui est sur ma main droite pour caresser mon gland. Ce dernier geste me fait basculer. Je sens que j'atteins le point de non-retour et je me ferme les yeux. Un instant plus tard, je sens mes muscles se contracter de façon saccadée et mon sperme atterrit dans ma main gauche. Florence me force à me masturber quelques instants jusqu'à ce que je cesse d'éjaculer. Elle passe alors son pouce une dernière fois sur mon gland et le porte à sa bouche.Lentement, elle me fait relever ma main gauche. Je la laisse faire étant dans un état semi-léthargique suite à l'atteinte de mon nirvana. Elle me force à approcher ma main de mon visage puis de ma bouche. Sans penser, je porte la main à ma bouche et accepte le jus qui glisse de ma main vers mes lèvres. Le jus chaud est soyeux sur ma langue. Je le fais rouler dans ma bouche avant de l'avaler. Sans le réaliser pleinement, je venais pour la première fois d'avaler du sperme chaud. Josée aide alors Florence et me force à lécher ma main et mes nouveaux ongles. Je trouve l'exercice très sensuel et sans le réaliser, je recommence à bander furieusement. « On dirait qu'il n'en a pas eu assez. Qu'est-ce qu'on devrait faire Flo? » « Claude-Marie, que dirais-tu de recommencer? » L'invitation était superflue, déjà je me masturbais devant la glace. Les deux filles ...
... s'étaient tournées vers moi et me caressaient les cuisses et le dos. En deux minutes, je répandais mon jus sur le sol devant la glace. Josée est allée chercher une serviette mouillée pour me laver le sexe pendant que Florence me retirait les shorts. Une fois mon sexe et le tanga lavés et séchés, Josée est allée ouvrir la porte. « Tu n'as pas besoin des shorts, ta tunique te fait une belle robe courte. » Je me suis tourné vers Josée et dans un geste surprenant pour moi, je la prends dans mes bras et je l'embrasse avec passion. Le baiser ne dure qu'un instant. « Merci Josée, mes mains sont magnifiques. » Elles l'étaient en effet. Mes longs ongles et mes longs doigts se combinaient pour donner une impression de féminité à mes mains. C'était comme si elle ne m'appartenait plus. Je les trouvais sensuelles, provocantes, excitantes. Je les regardais sans penser à ce que je venais de faire. Puis je me suis tourné vers Florence que j'ai embrassée avec autant de passion que Josée. Florence m'a demandé d'aller manger à l'extérieur. En sortant, j'ai regardé ma réflexion dans la porte, je réalisais que je devenais une belle fille, aussi belle que plusieurs des employés du spa. Florence m'a amenée manger une salade. Nous avons discuté de tout et de rien jusqu'à ce qu'elle trouve son courage pour aborder des thèmes plus sérieux. « Claude-Marie, crois-tu que tu es gai? » « Non, pourquoi dis-tu cela? » « Je t'aime bien, c'est tout... » « Tu m'aimes bien... comme ami? » « Je t'aime bien. Et je ne sais ...