1. Claude-Marie: Cahier 1


    Datte: 11/11/2017, Catégories: Transexuels

    ... pas, j'aimerais que nous ayons une relation spéciale. J'aime ton nouveau style. J'aimerais faire des folies avec toi. Je ne sais pas. » Elle était rouge et regardait la table en me parlant. « Florence, je t'aime moi aussi. » En revenant au spa, Andréanne m'a annoncé que ma mère viendrait me chercher vers 16 h et Sophie qui était à la réception m'a invitée à passer sur sa chaise quelques minutes afin qu'elle me coiffe avant de retourner dans le bureau. J'adorais ces attentions, j'adorais mon nouveau style, j'adorais comment mon corps réagissait à tous ces nouveaux stimulus. De retour à mon bureau, j'ai dû me réhabituer à utiliser mon ordinateur et même le téléphone avec mes nouveaux ongles. À plusieurs reprises, je me suis surpris à regarder mes mains ou à me caresser avec mes ongles et me sentir excité. Quand ma mère est entrée dans mon bureau à 16 h 15, j'étais en pleine contemplation de mes mains. « Allo, ma chérie. Oh! Que c'est beau ta manucure, montre-moi tes pieds. » Elle avait les mains pleines de sacs de grands magasins. Je lui ai montré mes pieds et elle m'a souri. « C'est vraiment beau. Je t'ai apporté des surprises que j'aimerais que tu essaies. Qu'en dis-tu? » « Montre-moi ce que tu as maman. » « Chérie, j'aimerais que tu m'appelles Renée, cela te gênerait? » « Non, non. Montre-moi ce que tu as dans tes sacs. » J'étais impatient. « Assieds-toi. » Je me suis assis et ma mère a déposé ses sacs. Elle s'est immédiatement mise en devoir de me retirer mes sandales. ...
    ... Ensuite, elle sort d'un sac des bas en soie blanche avec une large jarretière de dentelle. Elle me la place délicatement sur les jambes. La sensation sur ma peau glabre est fantastique, telle une caresse. Je sens mon sexe se réveiller encore une fois. « Lève-toi et retrousse ta tunique. » Je me lève, les bas glissent un peu sur mes cuisses. Ma mère sort un porte-jarretelles blanc en dentelle. Elle l'attache à ma taille. La dentelle couvre mes hanches. Elle attache les jarretelles aux jarretières et tend les bas. Je me penche pour voir le résultat qui est affriolant. « Ma chérie, tu sembles aimer tes nouveaux dessous. » Ma mère caresse un instant mon sexe. « Renée, tu ne peux pas faire cela. » Je le disais sans vraiment le penser. Ma mère m'excitait réellement. Je pousse ma tunique vers le bas, la tirant un peu plus que nécessaire. « Assieds-toi alors. » Après m'être assis, ma mère prend un grand sac duquel elle sort une boite. Dans la boite, il y a une paire de bottes blanches vernies avec des talons aiguilles vertigineux et une semelle compensée. Ma mère me dit que le talon fait treize centimètres. Une fois lacée, la botte moule parfaitement mon mollet. La botte termine le travail et je me sens mon sexe pleinement gonflé. Ma mère me tend les mains et m'aide à me lever. Je suis beaucoup plus grand maintenant. J'aimerais me voir dans une glace. Ma mère se place derrière moi, je l'entends fouiller dans un sac. Je commence à me retourner. « Non, non! Attends un peu. » Elle passe ses ...
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