La colocation
Datte: 07/07/2021,
Catégories:
fh,
jeunes,
Inceste / Tabou
école,
amour,
Oral
pénétratio,
init,
... corps contre le mien me rappelait en permanence les souvenirs de la soirée. Je bandais comme un âne, mais j’avais promis d’être sage. Je savais que si je tentais quelque chose, elle me renverrait illico dans mon lit. La fatigue eut finalement raison de moi, et je m’assoupis. Sur le petit matin, je fus réveillé par la main de Julie qui se glissait dans mon caleçon. Lorsque l’on se réveille, il y a un instant pendant lequel on ne sait pas si on dort encore ou si l’on est réveillé, puis petit à petit le monde de la réalité chasse le monde féerique des rêves. Pensant que je rêvais encore, je ne bougeais pas, afin de prolonger cette agréable sensation. Il me fallut plusieurs minutes pour me rendre compte que je ne rêvais plus, et que c’était bien sa main qui jouait avec mon sexe. Sa tête était reposée sur mon bras droit. Elle était sur le côté, me tournant le dos. Elle avait passé sa main entre nos deux corps et me branlait le gland du bout des doigts. Cette caresse était tellement agréable qu’elle réussit à m’arracher un gémissement. — Tu es réveillé ? me demanda-t-elle sans cesser ses caresses.— Non, je suis en train de rêver que ma cousine me branle, répondis-je sur le ton de la plaisanterie.— As-tu bien dormi ? s’enquit-elle comme si de rien n’était.— Non car toute la nuit j’ai repensé à hier soir et j’ai été excité de sentir ton corps contre le mien. J’ai vraiment regretté ma promesse.— Moi aussi, dit-elle en marquant une pause, puis elle ajouta : j’ai mal dormi. Je ne suis ...
... pas habituée à partager mon lit avec un garçon et j’ai senti ton « truc » tout dur, dans mon dos, toute la nuit. Aussi quand je me suis réveillée, je n’ai pas pu m’empêcher de le prendre dans ma main.— Et ça t’amuse ?— Oui, j’adore le sentir grossir dans ma main.— Puisque tu me touches, moi aussi je peux toucher.— Oh oui, vas y, touche-moi. Elle était toujours dos à moi, et pour faciliter sa caresse, j’ôtais mon caleçon, avec son aide. À chacun de ses va-et-vient mon gland frottait contre son pyjama, au niveau de ses fesses. Mon bras droit étant coincé par sa tête, ma main trouva rapidement le chemin de ses tétons, que j’agaçais au travers du tissu. Mon autre main, étant beaucoup plus libre de ses mouvements, s’acharna à lui ôter son bas de pyjama. Heureusement elle m’aida en soulevant son bassin. L’inconfort de la situation, m’obligea à batailler quelques minutes pour avoir le plaisir de sentir mon gland frotter contre ses fesses mises à nues. Ce contact me fit durcir encore plus fort. Ma main gauche, alors désœuvrée, s’aventura rapidement dans sa forêt vierge. Lorsque ma main se trouva en contact avec sa motte, elle écarta ses jambes pour me faire comprendre ce qu’elle voulait. Je jouais quelques instants avec ses poils, puis m’amusais à faire glisser mon majeur sur ses grandes lèvres. Son puits d’amour débordait littéralement de mouille. Mon doigt, de plus en plus inquisiteur, accentua son mouvement de manière à caresser son clitoris, et s’aventura jusqu’à son anus. Elle ...