1. La colocation


    Datte: 07/07/2021, Catégories: fh, jeunes, Inceste / Tabou école, amour, Oral pénétratio, init,

    ... mouillait tellement que son petit trou était aussi lubrifié que son con. Elle prenait son pied si j’en jugeais par ses respirations saccadées et ses soupirs de satisfaction. J’accompagnais du bassin les mouvements de va-et-vient de sa main, mon gland s’insinuait, à chaque coup, un peu plus entre ses fesses. Ses cuisses s’écartèrent un peu plus pour qu’elle puisse se caresser le clitoris avec le bout de mon membre. Bientôt il se trouva en contact avec ses grandes lèvres. Mon sexe avait pris la place de mon doigt, et elle se caressait le clito avec. Mes doigts lui écartèrent ses babines afin que mon gland soit à l’entrée de sa chatte. À chaque fois que sa main remontait, elle cognait contre son clitoris. Son bassin ondulait au rythme de ses caresses. J’avais déjà presque l’impression d’être en elle, tant sa chatte était humide et chaude. — Tu as promis… me dit-elle dans un soupir et pour se persuader elle-même qu’il ne se passerait rien.— De toute façon, c’est toi qui as « les choses » en main, lui répondis-je dans un souffle. Mais je t’en supplie, laisses-moi entrer juste mon gland. Pitié.— Juste le bout… Et qui me dit que tu ne l’enfonceras pas entièrement ? Moi aussi j’en ai très envie mais est-ce que je peux te faire confiance ? répondit-elle entre deux soupirs.— C’est toi qui le tiens… Ta main m’empêchera de m’enfoncer plus que tu ne le veux… Vas-y… Mets-le… J’en peux plus… Elle me masturbait, en laissant mon gland juste à son entrée. Elle repoussait au maximum ...
    ... l’inévitable instant où elle céderait. Chaque fois que sa main venait cogner contre sa fente, elle poussait un grognement de plaisir. Dominé par l’excitation, je repris l’initiative. J’accompagnais chacun de ses va-et-vient, d’un petit coup de bassin en avant. À chaque coup je m’insinuais un peu plus en elle. Seule, sa main qui ne lâchait pas mon sexe, m’empêchait de la prendre à fond. La position ne devait pas être très confortable pour elle, ainsi contorsionnée, mais elle ne lâchait pas sa prise. À chacune de mes poussées, sa main était un peu plus écrasée entre nos deux corps. Je la basculais sur le côté. Mes mains se saisirent de ses hanches. Elle se cambra, au moment même où je me redressais, si bien qu’elle se trouva en position de levrette. Elle avait lâché mon sexe une fraction de seconde pour glisser la main entre ses cuisses et s’en ressaisir afin de limiter ma pénétration, mais la forteresse semblait sur le point de capituler. Elle gémissait de plus en plus fort. Sa main tenait avec beaucoup moins de vigueur mon sexe. Elle venait au-devant de chacun de mes coups de buttoir. Une poussée plus forte que les autres, la déséquilibra. Pour éviter de s’affaler sur le lit, elle fut obligée de lâcher mon sexe et de poser sa deuxième main sur le lit. Je profitais de cet instant pour m’enfoncer en elle jusqu’à la garde. — Salaud, me dit-elle, tu avais promis…— C’est toi qui a enlevé ta main au mauvais moment, lui répondis-je tout en continuant de la limer. Tu veux que je m’enlève ?— Oh ...
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