1. La malédiction de la courgette


    Datte: 08/07/2021, Catégories: fh, asie, poilu(e)s, collection, Oral préservati, aliments, humour,

    ... courgette, visiblement mécontentes et jalouses. J’en ai foutu partout, sur mon ventre, par terre, ce ne serait pas étonnant que j’en aie jusque dans les cheveux. Au point où j’en suis, de toute façon… Je ne sais même pas comment j’ai quitté mes fringues, mais je suis à poils dans la cuisine, pour la plus grande joie du voisin d’en face, qui mate, la queue dans la main. Beurk ! Ce type est repoussant au possible, vieux, malpropre, je le sens de chez moi ! Et son regard pervers quand il se passe la langue sur ses minces lèvres grimaçantes. Je frissonne et je m’enfuis dans ma chambre. Je saute sur mon lit : — À nous deux ! dis-je en regardant droit dans les yeux ma courgette emballée. Je mouille tellement que finalement, l’huile n’aurait pas été nécessaire. Je me fous à genoux, la tête dans l’oreiller, je dirige le gode improvisé le long de ma raie, je la joue « à la barbare » en essayant de me pénétrer directement, sans m’avoir mis un ou deux doigts pour m’ouvrir. Résultat, ça ne rentre pas, mon anus m’annonce qu’aujourd’hui, c’est « closed ». Je le traiterais volontiers de trou du cul, mais je sens bien qu’il n’en serait pas offusqué. Voilà, ça y est, je m’énerve, l’autre conne m’échappe des mains, flinguant mes draps de son huile parfumée. Furieuse, je la balance au hasard de ma chambre, sans regarder, par-devers moi. Bruit étrange qui me fait retenir mon souffle : elle est passée par la fenêtre béante et a tapé contre les volets entrouverts. Bruit sourd, elle est tombée ...
    ... sur la terrasse de mes voisins du rez-de-chaussée. Je ne bouge même plus un cil. Exactement, je fais la morte. Puis, j’entends ma voisine m’appeler. Non, je suis morte, je n’assume pas du tout que la vieille conasse d’en bas ai ma courgette couverte d’une capote et d’huile dans la main. Si je ne suis pas terrassée par la honte, j’attends pourtant d’être frappée par la mort. Je m’affale sur mon lit et je me mets à pleurer. Je veux juste baiser, moi !!! Pour la première fois de ma vie sexuelle, je suis frustrée. Quel sentiment affreux !! Je ne gère pas du tout, d’autant que le voisin commente à voix haute ce qui est arrivé sur sa terrasse : — Ah, ben dis donc, elle en veut la petite du 4e ! Voilà, je ne peux pas tomber plus bas. Mais c’était me sous-estimer ! Au soir donc de la fin des examens, je suis affamée et je ramène ma proie dans ma tanière. Un peu plus âgé que moi, plutôt mince, mais très musclé, une crevette nerveuse, en gros, il a les cheveux longs et blonds : joie ! Je vais enfin réaliser mon fantasme ! J’aime son regard vert et franc, son côté néandertalien, la nuit promet d’être longue… Il m’arrache un peu le visage avec sa barbe. Putain, j’avais oublié ce défaut des mecs. Sa barbe est drue, je pourrais râper du parmesan avec, c’est dire l’état de la peau de mon visage et de mes lèvres. Mais je philosophe : cette dureté sera peut-être agréable entre mes cuisses, qui sait ? Il m’attrape par la taille, me soulève, mes jambes se joignent sur ses hanches et il me pose ...
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