La malédiction de la courgette
Datte: 08/07/2021,
Catégories:
fh,
asie,
poilu(e)s,
collection,
Oral
préservati,
aliments,
humour,
... n’ayons pas peur des mots, dans ma tête mon vocabulaire ne m’effraie pas ! Je crève d’envie de me faire défoncer, d’être écartelée, le souffle coupé, de le sentir me prendre comme un furieux. Au lieu de ça, il me branle au point que je ne vais pas tarder à jouir, en suçant au choix : un énorme chewing-gum, une souris morte mais depuis peu, une saucisse de Morteau tiède… Non pas la saucisse, elle serait dure, celle-là, au moins… Mes réflexions s’arrêtent là, parce que je suis en train de jouir et que j’éprouve le ridicule de pomper comme une démente une bite qui refuse de durcir. Ah, la loose ! Il se couche à côté de moi, bordel ce qu’il transpire en plus ! J’ai l’impression qu’il sort de l’eau. Dieu merci, il ne pue toujours pas. Sans me démonter, j’opte pour le dialogue. Excuses à la con, fatigue, stress de ne pas connaître mon corps, je demande à être guidée, il accepte, sa verge reprend des proportions chevalines, il choppe la capote, arrive à la dérouler jusqu’au bout et se jette sur moi. Je soupire d’aise, enfin je vais obtenir ce que je voulais ! Ah, j’anticipe complètement mon plaisir, je suis trempée et en rut et il va enfin me satisfaire !! Ah, non. Finalement. Je le sens entre mes cuisses qui s’évertue à me pénétrer de sa queue redevenue molle. Fais chier. On parle encore. On essaie encore. Il débande encore. Et moi, je m’assèche. À 6h du matin, je le mets dehors. Je suis compréhensive, mais seulement jusqu’à un certain point. Et le lendemain, ma meilleure amie ...
... qui se fout de ma gueule. Et moi, mauvaise, qui lui réponds : — T’as pas niqué depuis deux ans, la ramène pas ! Deux semaines s’écoulent. J’ai retenté l’affaire avec ce gars : pas moyen de passer la capote. Tant pis, au suivant. Dans un café, un asiatique m’aborde sur le bouquin que je suis en train de lire. Il est charmant comme son accent léger, il s’appelle Long, sa conversation est vraiment intéressante, il m’invite à dîner. Comme il est encore tôt, nous nous baladons dans la ville, nous et nos allusions coquines de plus en plus précises et intenses. Je me lâche, j’ai besoin de me faire sauter, j’en ai marre de me branler ou de me faire branler, alors je sors le grand jeu. Au coin d’une rue, il m’enlace, je lui roule une pelle monumentale et, sans lui laisser le temps de répliquer, je lui montre du coin de l’œil la pharmacie. Excitée comme une puce – puce, pas pute, s’il vous plaît – je l’entraîne dans ce lieu où vont les gens qui toussent et qui se grattent. Je suis un peu déçue de l’entendre demander une boîte de capotes normales. Merde, on dirait que j’ai perdu mon flair à me lever des mecs super bien montés. Avant Long, je n’avais jamais vu que des King Size… En repensant au précédent, je me dis qu’il vaut mieux une moyenne qui marche plutôt qu’une grosse défectueuse. Et puis, je vais pouvoir vérifier directement si « la taille compte ». Le resto est expédié au pas de charge, juste histoire de prendre des forces pour la nuit. Arrivés chez moi, ça commence mal : il ...