1. La malédiction de la courgette


    Datte: 08/07/2021, Catégories: fh, asie, poilu(e)s, collection, Oral préservati, aliments, humour,

    ... contre la butée que fait sa queue dans son pantalon. Conclusion : il est monté comme un poney ! Oh Yeah ! Il mordille mes seins à travers mon tee-shirt, ses mains pétrissent mes fesses, il me porte jusqu’au lit, m’arrache mes fringues, en bon sauvage. J’apprécie. Il commence à laper mon sexe trempé, remonte sur mon ventre comme un escargot en laissant une traînée de bave, cache son visage entre mes seins qu’il a empoignés pour les rapprocher. Mignon et coquin, ça me plaît. J’attrape le bas de son tee-shirt, le lui ôte et là, première blague : l’homme descend du singe, pas de doute, il en a gardé les poils. Partout, il en a partout ! Les épaules, le dos, c’est simple, on dirait qu’il est encore habillé ! Je ne perds pas de vue mon objectif, à savoir : tirer un coup, me faire sauter par ce mec à la bite énorme. Je le bascule sur le lit et déboutonne son pantalon, deuxième blague : je suis en face d’un slip. Moche. Comme ceux que pourrait porter mon père. Irgh, si je puis dire. Je chasse papa de mon esprit, ça fait bien longtemps que j’ai réglé mon Oedipe. Je m’accroche, me dis que sous ce slip hideux, y’a un titan. Je passe mes mains sur l’étoffe, me laisse le temps de deviner exactement les proportions de monsieur, je lui en fais le compliment, lui ne moufte pas. Bon, il doit être blasé peut-être ? Je passe mes doigts sous le tissu, affolement digital complet, ils n’étaient pas préparés à tomber dans la forêt vierge. Et je fouille, zut, mes extrémités s’emmêlent dans des ...
    ... nœuds, bordel, pourquoi il ne met pas un coup de tondeuse ? Ou qu’il fasse des tresses ! Je me reprends, histoire de ne pas s’égarer de trop : je baisse son slip, parvient à mon nez une odeur légère de déo qui me surprend. Un mec qui sent le déo du bout de la bite, ça fait bizarre. Mais je suis reconnaissante intérieurement, ça aurait pu être une infâme odeur de pisse. Par contre, je renonce à le sucer tel quel. J’attrape une capote et en l’ouvrant, embrasse son torse velu avec l’impression que je vais me taper l’ours en peluche géant sur lequel je faisais la sieste lorsque j’étais toute petite. Je pince le réservoir sur le gland, mais je le sens tout à coup mollir affreusement. Le propriétaire de l’énorme ver de terre qui gît entre mes mains se redresse : — Ça me fait débander le contact du latex— Ah ? Ça va être compliqué alors…— Je m’en occupe. Oui, c’est ça, occupe-t-en, avoir une bite molle dans la main, c’est affligeant. Il se place à califourchon sur moi, branle sa verge d’une main, de l’autre, il me caresse. Ah putain ! Qu’est-ce qu’il branle bien ! Je décide de m’occuper de lui : je flatte doucement ses couilles velues, je le prends finalement en bouche, sous le coup de l’excitation. J’aime sucer, surtout quand on me caresse si bien. Un partage, une sorte de juste retour des choses. Il ne raidit pas, mais ne faiblit pas non plus. Sa main a lâché sa queue pour tenir ma tête. Au moins, il semble aimer ça. Moi, je médite sur la situation : je crève d’envie de me faire… Oh, ...
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