La malédiction de la courgette
Datte: 08/07/2021,
Catégories:
fh,
asie,
poilu(e)s,
collection,
Oral
préservati,
aliments,
humour,
... embrasse comme un poisson. Je le repousse, lui fais un strip-tease à l’arrache, il fait pareil, mais garde son caleçon. Flottant le caleçon. Y’a un progrès sur le slip. Il écarte les lèvres de ma chatte, j’adore être ouverte délicatement, du bout des doigts et me branle de ses doigts humectés de salive. Ces allers-retours entre sa bouche et mon bourgeon me gonflent un peu : ne pourrait-il pas me lécher directement ? J’agite mon petit cul pour le lui faire comprendre, il semble s’y résigner. Ah, merci, ça fait plaisir… Je ferme les yeux pour les rouvrir brutalement : à sucer mon petit bouton aussi fort, il va me l’arracher ! Je ne suis pas candidate à l’excision, alors du calme ! Je reprends la direction des opérations et à cheval sur lit, je baisse son caleçon avec une drôle d’intuition. Et là, Bingo ! Je découvre une verge minuscule, avec un gland tout dur en forme de bille. Je revois les Agathes, les Gallos, les mammouths de la cours de récréation de primaire… J’en prends mon parti : qui sait, ça va peut-être me faire un effet d’enfer ? Je le suce un peu, avec précautions, de peur de l’avaler, et comme ça, je ne lui balance pas toutes les vannes qui me traversent l’esprit. Quoique c’est bien la première fois que j’aurai réussi à articuler clairement en taillant une pipe… Il enfile lui-même le préservatif et me prend, d’un seul coup de reins. Pour moi, c’est une révélation presque mystique, comme une clarté qui s’impose à moi, une chose que je ne peux nier : je ne sens ...
... RIEN ! À tâtons, l’air de rien, je vérifie qu’il est bien en moi. C’est le cas. Bon… Très bien… Pas du tout en fait ! Et là, il entreprend de m’aspirer la figure avec sa bouche. Bordel, ce n’est pas possible, c’est vraiment un Gobi ! Ses lèvres s’ouvrent et se ferment sur les miennes et aussi sur mon nez et mon menton. Il bave un peu sur mes yeux, je tente de trouver sa langue dans cet aquarium visqueux, mais il doit l’avoir avalée, impossible à dénicher. C’est alors que je réalise que sa barbe naissante me pique et une image s’impose à mon esprit : celui du poisson-lune empaillé qui se trouve chez ma Mamie, au-dessus de son téléphone et que j’avais toujours peur de prendre sur la tête. Je me fous en levrette en pensant : — putain de Fugu !, échappant ainsi aux baisers gluants et dans l’espoir de sentir quelque chose. Il bave dans mon oreille, ça y est, elle est bouchée de salive. Je cache ma tête sous l’oreiller, complètement dans la fuite, j’avoue. Nouvelle sensation étrange, de ma main droite, je pars vérifier : c’est bien ça, il perd petit à petit la capote. Merde, il ne manquait plus que ça ! Et tout en m’assurant qu’elle ne se barre pas complètement, je songe que pour la première fois de ma vie, j’ai un rapport sexuel sans plaisir aucun. Une drôle d’expérience que je mène jusqu’au bout, tant qu’à faire. Me voilà dans la catégorie dont je me suis toujours moquée : les mal baisées. Tu m’étonnes qu’elles sont d’humeur massacrante ! C’est tellement nul, dans le sens « néant » ...