1. La malédiction de la courgette


    Datte: 08/07/2021, Catégories: fh, asie, poilu(e)s, collection, Oral préservati, aliments, humour,

    ... de rien, je peux me branler. Je n’y peux rien, quand j’ai envie, j’ai envie, et je me branle n’importe où : wagon de train, place dans un car, à mon bureau, mais là, je me finis en vingt secondes dans les toilettes. Et ça me fait rire, car jamais personne n’a réalisé ce que je faisais ! Pour l’heure, je m’agite sur ce mec, je planifie l’envolée de nos fringues, mais c’est lui qui s’envole tout seul : ses mains se crispent sur mes seins, il donne deux petits coups de reins et une tache apparaît sur son pantalon clair. Ah NON ! Je suis sympa, je lui indique la salle de bains et lui disant que je l’attends dans le lit. Il prend ça avec calme, j’avoue être soulagée que cet éjaculateur précoce le gère si bien. Et puis la nuit n’est pas finie ! Il revient, il bande, mais râle un peu pour la capote. Je fais comme si ça ne cassait pas mon excitation. Il l’enfile, je me mets sur lui. Je soupire de bonheur quand je m’empale sur lit : enfin une bonne grosse queue bien dure en moi ! Youpi ! Je savoure cette sensation presque oubliée, je serre mes muscles vaginaux, je prends le temps de me sentir mise jusqu’au fond. Que c’est bon ! Mais il a suffi que je me soulève quelques fois sur la hampe pour qu’il jouisse à nouveau. Là, j’avoue, je le prends mal. Autant, y’a 10 minutes, je me suis forcée à trouver cela flatteur, signe que je lui faisais beaucoup d’effet, mais là, maintenant, je suis frustrée ! Je lui demande de tenir la capote le temps que je me retire. Je me soulève, la capote ...
    ... lui échappe des mains et reste coincée dans mon vagin : je pète officiellement les plombs : J’ai du sperme sur les cuisses, cette horreur qui pendouille lamentablement de ma chatte, c’est visqueux, ça commence à refroidir, j’en ai plein les mains, bordel de merde ! Et lui, qui rigole comme un con en me disant de ne pas en faire une maladie, puisqu’il a vu dans la salle de bains ma plaquette de pilules. Je me calme presque net : — Tu sais que tu es vraiment un gros con ?— Ben quoi ?— Depuis quand la pilule, ça protège des maladies, du sida ?— Ben c’est bon, je suis clean ! Et moi, perverse, sadique, bien déterminée à me venger : — Mais qui te dit que moi je le suis ? Et là, il est devenu tout blanc. Et sa quéquette toute petite. J’ai laissé tomber la capote sur son ventre après l’avoir extraite comme si c’était une bombe à neutrons. J’ai eu envie de lui pisser dessus, juste histoire d’en rajouter une couche. Et aussi de cracher un glaviot venu du fond de ma gorge. Pour le coup, j’ai même regretté de ne pas avoir mes règles, histoire de l’enfoncer dans l’horreur. Et comme je déteste vomir, je n’ai pas eu le courage de me mettre deux doigts dans la gorge. Et puis, et surtout, c’est mes draps. Il est vite parti et a tout aussi vite fait courir le bruit que j’étais une tarée qui avait tenté de le contaminer avec le sida. Il n’a même pas pensé à faire un test. Ce con. Si je fais le bilan, je me suis donc tapé : un néandertalien impuissant, un asiatique aussi court que malpoli et un ...
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