1. Après le bac... en 1977


    Datte: 08/07/2021, Catégories: fh, hplusag, inconnu, lunettes, vacances, forêt, amour, Oral pénétratio, prememois, occasion,

    ... alors que j’ai cru un instant que tu allais fuir en courant en me laissant là comme une nouille.— Tu me connais encore bien mal. Laisse-moi te montrer. Il la prit et la porta non pas jusqu’à un lit à baldaquin, mais un lit de feuilles. Il vit qu’elle était aussi légère qu’une plume. Il la posa délicatement comme si elle était en porcelaine. Ils se regardèrent et Hervé prit alors une feuille dont il se servit pour caresser la peau nue de sa partenaire. — Tu sais ce que je vais faire ?— Je me doute bien…— Je vais lécher et embrasser la moindre parcelle de ta peau. Et quand j’aurai fini, je recommencerai. Encore et encore. Jusqu’à ce que tu me supplies d’arrêter.— Tu bluffes. Tu es pressé comme les autres. Dans cinq minutes, tu auras déjà terminé ton affaire. Hervé savait au ton de sa voix qu’elle ironisait. Sûrement pour cacher une forme d’anxiété ou d’impatience. Il se mit alors en tête de la satisfaire. — Tu vas voir de quel bois je me chauffe, ma grande. Dans cinq minutes, j’aurai à peine commencé. Il lui enleva précautionneusement ses lunettes. — Totalement nue, j’ai dit.— Je suis myope.— Tu n’en as pas besoin. Concentre-toi sur tes autres sens.— Mais pour après, si je ne les ai pas, je… Il ne lui laissa pas le temps de terminer sa phrase. Il était bouillant et l’heure n’était plus aux bavardages. Sa bouche s’abattit sur son bas-ventre. Elle se mordit la lèvre en réprimant un cri. — Mmmmmm ? tenta-t-il de l’imiter en prenant sa voix soudainement aiguë par le plaisir. Ce ...
    ... n’est pas très français. Ouuuuuh, non plus. Toi qui avais peur des hiboux…— C’est toi qui parles trop. Et ne te moque pas. Si tu t’arrêtes, je te…— Houlà, Madame s’énerve. Quiconque était dans les environs aurait pris de la poudre d’escampette en entendant les animaux bizarres fréquentant ces lieux la nuit. Seraient-ils hantés ? Oui et non. Pas par de vulgaires ectoplasmes traînant derrière eux un boulet selon l’image consacrée. Mais par deux corps, deux ombres, deux souffles, semblant ne faire qu’un. — Tu sens délicieusement bon la pêche, parvint-il à articuler entre deux coups de langue.— C’est… de la framboise. Si tu confonds… framboise et pêche… tu n’es pas dans ton état normal.— Comme si j’étais le seul. Et il reprit de plus belle. Il voulait qu’elle s’abandonne totalement, mais d’un autre côté son cerveau se fit la réflexion qu’il serait encore meilleur de s’abandonner à deux. Il devait la pénétrer. Son sexe lui faisait presque mal à force de bander. Il ne connaissait qu’un seul moyen de le soulager. Il releva la tête et observa Françoise. Qu’est-ce qu’elle était belle dans le plaisir. Il posa sa verge sur son pubis. Elle paraissait si gonflée qu’il se demanda si elle n’allait pas finir par éclater comme un fruit trop mûr. En réalité, il était en quête de son autorisation. Même muette. — Toc, toc, toc. Puis-je entrer chez vous ? Françoise mit du temps à répondre. Comme si elle émergeait d’un long rêve. — Tu as vraiment besoin d’une réponse ?— C’est important pour moi. Elle ...
«12...678...»