1. Après le bac... en 1977


    Datte: 08/07/2021, Catégories: fh, hplusag, inconnu, lunettes, vacances, forêt, amour, Oral pénétratio, prememois, occasion,

    ... lui toucha alors le bras et ce geste valut tous les « oui » du monde. Elle était tellement bonne et chaude qu’il faillit hurler de bonheur. Il avait l’air d’un petit garçon en face de sa première petite copine. Il dut faire appel à toute son expérience pour se calmer et reprendre le contrôle de soi. Françoise était comme un col du Tour de France. S’il se mettait dans le rouge tout de suite, il ne tiendrait pas toute la montée. Il se détendit et entama des mouvements amples et lents. Ses hanches, ses reins tournaient à plein régime. Pour la plus grande joie de son amante dont les gémissements devinrent de moins en moins étouffés. Voilà qui raviva la flamme brûlant intensément entre leurs deux corps. Il avait beau se concentrer davantage, espérer que les secondes devinssent des minutes, toute l’excitation accumulée depuis la matinée menaçait d’exploser. Il se retira, mais tout en lui lui commandait de revenir. Cette sensation de manque était horrible aussi il se replongea avec délices à l’intérieur de la jeune fille. Contre son gré, il se rendit compte que lui aussi commençait à pousser d’inintelligibles borborygmes. Son sexe gonfla. Il le sentit vibrer. Cet endroit si chaud, si humide, le compressait toujours plus. Comment retenir ce liquide si précieux qui menaçait de s’échapper ? Elle le voulait ? Elle allait l’avoir. Poussant une énième fois son bassin en avant, la jouissance le terrassa, aussi euphorique qu’un coureur franchissant la ligne d’arrivée après des kilomètres ...
    ... d’efforts. Vidé à sec, dans tous les sens du terme, il s’allongea sur le dos dans l’herbe fraîche, son esprit encore à des années-lumière de la Terre. C’est le rire de Françoise, un rire de lutin assez étrange, qui le sortit de sa torpeur. — Tu m’as envoûté, sorcière.— À mon avis, tu t’envoûtes très bien tout seul, continua-t-elle de rire. Il se demanda si ses sentiments envers elle n’étaient pas plus profonds qu’il ne le soupçonnait. Il aimait tout chez elle. Il parlait en connaissance de cause. Il l’avait eue entre les mains quelques minutes auparavant. — J’aime tes cheveux courts.— Je suis obligée. Sinon, ils frisent et ça m’énerve, grimaça-t-elle.— J’aime ton ventre plat. Tes cuisses puissantes. Tes petites fesses.— Petites ? Je vois que je ne suis pas la seule à être myope.— J’entends ce même refrain très souvent à la maison. Pourquoi vous voyez tout en noir ? Il aimait discuter avec elle de choses et d’autres. Il aimait son rire. Il aimait son odeur. Il aimait l’idée de l’avoir amenée jusqu’à l’extase. Il a aimé l’entendre dire merci. Rien que cette pensée lui donna une vigueur nouvelle. — Il a encore faim ?— Il est gourmand, ironisa Hervé. C’était rare de trouver une telle complicité au bout d’une journée seulement. — Je peux ? Sans attendre la réponse, Françoise se positionna entre ses cuisses et après avoir tendrement léché les bourses, elle remonta doucement, traçant un sillon humide le long de la queue pour finir par l’avaler doucement, resserrant les lèvres autour ...