1. Après le bac... en 1977


    Datte: 08/07/2021, Catégories: fh, hplusag, inconnu, lunettes, vacances, forêt, amour, Oral pénétratio, prememois, occasion,

    ... rendue encore plus jolie. Il commença à remonter sa robe le long de sa cuisse, mais elle l’arrêta net dans son geste. — Pourquoi ?— Je… je n’ai pas l’habitude dans ces circonstances, bredouilla-t-elle. Je ne me sens pas dans mon assiette. Après un silence, il comprit sa décision. — C’est toi seule qui commandes. Je respecte ta volonté.— Non… Je… j’ai envie. Mais, je ne peux pas… aussi vite. Ses paroles incohérentes ne le refroidirent pas. — Si tu veux… Je peux me déshabiller moi en premier. Si tu préfères.— Je crois.— Avec un corps comme le tien, tu n’as pas à douter de toi. Attends… Elle détourna pudiquement le regard tandis qu’elle entendit le bruit de vêtements qu’on enlève et qu’on jette par terre. Quand elle sut que c’était terminé, elle ne fut pas plus rassurée pour autant. Hervé se tenait entièrement nu comme un ver à quelques mètres d’elle. Il se demanda si de là où elle était, elle pouvait entendre son cœur cogner contre sa poitrine. Il s’approcha. — Tu vois. Ce n’est pas si difficile. Il faut y aller vite. Comme un vilain sparadrap que l’on décolle.— C’est plus facile pour les garçons.— Qu’est ce que tu racontes ? C’est une question de confiance mutuelle. Elle caressa son torse du bout des doigts. Elle aimait ces muscles saillants, cette apparence de dureté et de douceur qui émanait de sa personne. Elle lui ressemblait par certains aspects. N’y tenant plus, elle prit son sexe dans sa main. Elle soupesa les bourses. Elle caressa doucement la hampe. — Tu vois quand ...
    ... tu veux, grogna-t-il de satisfaction. Il te manque un peu de confiance en toi. C’est touchant.— J’ai un peu d’expérience… un petit peu.— Des idiots. J’en suis sûr.— J’ai eu deux copains au collège. Avec qui je n’ai rien fait. Et un au lycée. Qui m’a laissé tomber au bout de trois semaines.— Qu’est-ce que j’avais dit ? Nul être sensé ne laisserait tomber une aussi ravissante créature. Je ne suis pas étonné.— C’est pour me séduire ou tu le penses vraiment ?— Tu vas voir si je le pense vraiment. D’un geste habile et plein d’assurance, il fit glisser les bretelles de sa robe et entreprit de la dénuder doucement. Elle se laissa faire telle une poupée de chiffon. Le voyant faire, elle se souvint de sa grand-mère, étant petite, quand elle l’habillait avant de partir à l’école ou en promenade. Une fois la robe à ses pieds, il défit son soutien-gorge avec une facilité trahissant des années de pratique. Tout était si simple avec lui. Le vent caressa sa peau nue. Ému, Hervé avait la sensation de se retrouver le soir de Noël lorsqu’il ouvrait un à un ses cadeaux. Ce soir, c’était un autre genre de cadeau. Non pas offert par ses parents, mais par le Ciel ou Dieu sait qui. Il prit plus de temps pour lui enlever sa culotte. Puis, il se recula et la contempla sans un bruit. Ce spectacle lui coupa le souffle. Gênée, Françoise lui demanda si tout allait bien. — Merveilleusement bien… Je suis juste en train d’immortaliser la scène dans ma mémoire.— T’es bête. Tu me prends pour un chef-d’œuvre ...
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