1. L'harmonique des corps


    Datte: 16/07/2021, Catégories: fh, jeunes, amour, Oral pénétratio, journal, nostalgie,

    ... devant ses seins. Sa poitrine est généreuse, un pur bonheur. Je dégrafe son soutif et la libère. Je l’embrasse à nouveau pendant que ma main saisit son sein gauche. Puis ma bouche remplace ma main qui descend d’un cran. Les côtes, le ventre. Ma bouche suit. Je glisse le long de son corps que je respire. Sur son ventre, son nombril, sa ceinture. La ceinture, c’est le Rubicon. Au-delà, ce n’est plus de la peau que l’on investit, c’est de la chair. Ce sont des instants qui marquent. Défaire le bouton. Descendre le zip de la fermeture Éclair. Poser mes lèvres sur son bas-ventre. Baisser l’élastique de sa culotte jusqu’à l’apparition de ses premiers poils pubiens, noirs. Respirer son parfum. L’ivresse qui rend fébrile et accélère le rythme cardiaque. Je me redresse, ôte ses chaussures et fais glisser son pantalon et sa culotte d’un coup, sans trop de ménagement. J’ouvre ses jambes en repliant ses genoux et je reste suspendu un instant devant cette soudaine impudeur. Mes mains sur ses genoux convergent alors vers son sexe, et lorsqu’elles se rejoignent, j’écarte ses grandes lèvres et ma bouche embrasse sa chair. Le premier contact est toujours électrique, il nous trahit. Sa chatte est comme un fruit juteux et m’explose en bouche. Je m’en régale sans retenue. Elle se cabre puis ondule sous ma langue. Je l’entends respirer plus fort, perdre le contrôle. Je sens ses mains sur ma tête, dans mes cheveux, me pressant un peu plus. Alors j’enfonce ma langue dans son vagin, le plus loin ...
    ... possible. Dans un souffle, elle me dit « Viens ». Je me libère à mon tour de mes frusques et m’installe entre ses jambes. Ma queue semble trouver son chemin toute seule et je me retrouve au fond d’elle avec une facilité déconcertante. J’aurais aimé prendre mon temps, savourer cette première pénétration. Mais quelque chose d’animal s’est emparé de nous et nous subissons. Pendant que je la pénètre, elle m’embrasse à pleine bouche. Ma bouche pleine de sa mouille ne semble pas la rebuter, bien au contraire. Nous partageons la saveur de sa chatte au travers de ce baiser grisant. Elle me serre plus fort contre elle. Ses mains descendent, agrippent mes fesses et accompagnent, encouragent mes coups de reins. J’ai la tête dans son cou, le nez dans ses cheveux. Je l’entends gémir, je la sens gémir. Son souffle chaud dans mon oreille est une caresse terrible qui m’électrise, me brûle, et lorsque dans un soupir elle me dit « Je jouis », j’explose. Il me faut quelques minutes pour que la vague d’émotion se dissipe. Une vague qui m’a fait monter les larmes aux yeux et que je veux lui dissimuler. Alors je reste en sécurité, blotti dans ses bras qui m’enlacent toujours. Je n’avais jamais fait l’amour comme ça. Pas avec cette intensité, ni avec cette complicité. Jusqu’à cet instant, je n’avais qu’une vision, dirons-nous, grivoise, voire salace, du sexe. Le sexe comme moyen de plaisir et d’affirmation machiste, laissant mes sentiments au vestiaire et refoulant mes émotions. Pour la première fois, ...