La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1041)
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (mais textes romancés par MDE) – (suite) - Mais voici comment mon sort d’esclave se vit scellé définitivement, comment cela se passa, cette nuit-là : … La Rolls-Royce s’arrêta un instant devant la demeure de ce Marquis. Un grand portail en fer forgé en fermait l’entrée. Deux lions en statues de pierre, dressés sur leurs pattes arrière et qui avaient l’air de s’affronter, trônaient sur le haut de chaque épais pilier du portail. Un appel de phares en permit l’ouverture automatique, et la voiture avança lentement, les pneus crissant sur les gravillons de l’allée centrale entourée de belles pelouses impeccablement entretenues et décorées de multiples statues antiques... Etonnement, j’étais calme bien que mon cœur se soit brusquement accéléré. La Rolls noire arriva au bout de cette longue allée et s’arrêta devant des escaliers conduisant au perron d’un impressionnant Château. Walter, le chauffeur descendit, m’ouvrit la portière, et me dit poliment : - Veuillez sortir Madame, vous êtes arrivée. J’étais vêtue d’une robe longue fendue asses haut jambe gauche, portant des chaussures de style Salomé, qui vont si bien à mes pieds de danseuse. Le haut de ma robe ne cachait pratiquement rien de ma poitrine, et à mon habitude, j’étais nue sous la robe. En sortant, étant donné la hauteur des talons, je dus écarter fortement les jambes, et le Majordome regardait sans vergogne, mon entre cuisses, sous le feu des projecteurs ...
... inondant de lumière l’entrée de l’imposante demeure. En un instant il referma la portière et remonta en voiture. La porte d’entrée s’ouvrit et une femme d’une allure sévère, stricte, âgée peut-être de 40 ans, m’accueillit, m’invitant à entrer et à la suivre. Elle portait la tenue traditionnelle du personnel féminin de maison : Coiffe dans les cheveux, jupe stricte et noire, ballerines, petit tablier blanc. Elle me précédait dans un grand vestibule, orné d’imposants tableaux anciens représentant des scènes de guerre lors de batailles royales. Nul doute qu’ils feraient envie à plus d’un conservateur de musée. Des magnifique meubles travaillés trônaient aussi, ils étaient tous d’une autre époque, celle des rois allant du Louis XIV à du Louis XVI. L’ambiance était cossue, de bon ton, tout sentait le propre, le « rangé » l’ordre impeccable. Aucune poussière, tous brillait d’un éclat évident. Après avoir gravi de larges escaliers, sorte « escaliers d’honneur », nous entrâmes dans une grande pièce située à l’étage où la gouvernante me dit : - Madame, veuillez patienter ici le temps que j’annonce votre arrivée à Monsieur le Marquis et qu’Il consente à vous recevoir. Le terme « consente » me fit tiquer. Qu’il consente ?! Mais vraiment pour qui se prend-il ? Immédiatement après cette remarque personnelle, je me remémorais la même remarque que je m’étais faite 8 jours plus tôt à la soirée du vernissage. Et la réponse, je l’avais eue que je le veuille ou pas. Néanmoins, je décidais que la ...