La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1041)
Datte: 19/07/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... s’asseoir. Tandis que je m’installais, me tournant le dos, il me dit : - Malgré l’heure tardive, puis-je vous offrir un digestif ? Je n’avais même pas mangé, refusant sa proposition. - Champagne alors ! dit-il - Je veux bien, oui champagne en effet, ajoutais-je à demi-mot. J’entendis un bouchon « sauter » délicatement comme cela doit se faire et il revint me tendant une flute de cristal ciselé dans laquelle, des myriades de bulles pétillaient. - A votre santé, à votre nouvelle vie, à votre réussite ! Nouvelle vie ? Quelle vie, de quelle vie parle-t-il revenant subitement à la réalité ! - Buvez Madame, dit-il, le champagne désinhibe ! Vous êtes à l’heure, c’est bien, j’aime la ponctualité et donc les gens à l’heure. Je portais la flute à mes lèvres. - Ainsi donc, vous avez accepté ma proposition. - Euh non Monsieur, je n’ai rien accepté du tout, je suis juste venue - A l’heure dite me semble-t-il, je me trompe ? - Oui, euh, non, enfin je ne sais pas - Je vous avais dit que vous aviez jusqu’à deux heures ce matin pour accepter par votre venue ma proposition ou ne pas venir signifiant par-là votre refus. Ai-je raison ou tort Madame ? - Oui, c’est vrai, vous l’aviez dit - Et vous êtes présente, bien là ! - Oui c’est vrai aussi… mais… - Mais quoi, Madame, seriez-vous de ces girouettes qui tournent au gré des vents ? - (Piquée au vif) Non Monsieur je ne crois pas - C’est donc que par votre présence vous me manifestez votre accord. Je vais donc commencer dès maintenant votre ...
... première leçon. Vous êtes avachie dans le fauteuil, certes trop vaste pour vous mais veuillez-vous asseoir sur le bord du fauteuil, votre dos, droit et non adossé, ventre rentré, reins creusés, seins offerts à la vue comme il sied à l’esclave, la chienne que vous êtes en train de devenir. Tandis que je l’écoutais énoncer ses ordres et que je ne bougeais pas, il me prit délicatement des mains la flute de champagne, la posa sur un guéridon au plateau marbré, et deux paires de gifles m’arrivèrent en plein visage, me faisant tomber du fauteuil au sol. Tandis que je tentais de me relever, le souffle coupé, son pied se posa sur ma nuque, me forçant à rester dans la position. - Ecoute moi bien, dit-il, tu n’es pas sotte au point de faire semblant de ne pas avoir compris de quoi je parlais l’autre nuit. Tu as bien vu comment je me suis comporté avec toi l’autre fois ! Donc je considère que tu es d’accord et ta venue libre en est la preuve. Son pied se retira et ses doigts se saisirent de mon sein afin de le dévoiler et ils attrapèrent mon téton droit, qu’il serrât fortement me faisant douloureusement me remettre debout en tirant dessus sans ménagement. Une fois debout : - Retire ta robe toi-même que je t’admire à nouveau ! Chienne ! Eberluée à nouveau, apeurée aussi car je constatais amèrement que je m’étais encore faite avoir, je ne réagis pas. Mais paradoxalement, je me surpris de constater que mon bas-ventre réagissait, je commençais à me sentir humide malgré moi, malgré cette situation ...