1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1041)


    Datte: 19/07/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... seconde fois, je ne me ferai pas avoir aussi facilement. Je déambulais dans la vaste pièce faisant semblant d’être sereine, mais en admirant les somptueux meubles de bois rares, ainsi que les somptueuses tentures de velours lorsque. Je restais admirative aussi devant un magnifique tableau qui devait faire environ 2 mètres de haut sur autant de large et qui trônait au-dessus d’une large cheminée dans un imposant cadre verni. La toile représentait un portait. Je crus reconnaitre Monsieur le Marquis. Mais le visage me paraissait plus effilé. Et visiblement, il était coiffé différemment. Je compris vite qu’il s’agissait d’un aïeul du Noble. En effet, en m’approchant, je pus lire sur un petit écriteau posé en dessous du tableau : ‘Marquis Charles-Edouard d’Evans – 1785 –’ Ce qui m’impressionnait chez cet ancêtre de Monsieur le Marquis, s’était son regard sévère, pénétrant comme s’il lisait dans nos pensées et qu’avait très bien su retranscrire l’artiste peintre de l’époque. Un regard Dominant, fort, profond, un regard qu’on n’oublie pas, un regard que je retrouvais chez le Marquis actuel … Je vis aussi dans un coin, trônant sur un buffet de chêne massif, un magnifique olisbos, de belle taille, en ivoire je pense, bien sculpté et qui était véritablement représentatif du membre masculin. Ne sachant pourquoi, je n’arrivais pas à détacher mes yeux de l’objet. Je tendis même doucement et lentement la main, pour le caresser quand subitement, venant de je ne sais où, une voix masculine ...
    ... et forte retentit : - Madame, Monsieur le Marquis va vous recevoir dans un instant. Dire que j’ai sursauté à cette voix est faible, surprise alors que je caressais ce sexe érigé honteusement et de plus, ne sachant pas d’où provenait la voix. Me retournant prestement, je vis celui qui venait de parler, c’était un homme de haute stature, très bien habillé, venu de nulle part aussi, et placé dans l’entrebâillement d’une porte dérobée dans le décor des murs. Son air était comme absent. - Bien, mer… merci Mo… Monsieur, balbutiai-je. L’homme se retira aussi silencieusement qu’il était apparu. Cela faisait près de trente minutes que je faisais les cents pas, lorsque à nouveau, tandis que j’admirais un autre superbe tableau montrant Monsieur le Marquis avec à ses pieds, une femme soumise et nue, très belle, prosternée et portant un simple collier à son cou, quand tout d’un coup : - Vous êtes venue donc ! Le son de cette voix me fit sursauter tant je la reconnaissais. Une voix fait d’un sulfureux mélange paradoxal de jovialité et de fermeté. Je me retournai, fis face tentant de reprendre mes forces pour entamer le « combat ». C’était Lui, il était là, en travers de la porte dérobée. Il était d’une incroyable beauté tant par son charisme que dans sa tenue parfaite. Son sourire était détendu, calme serein, ses mains tendues vers moi comme une invite à le rejoindre, à me rapprocher de Lui. La vue de cet homme, dans l’anfractuosité de la porte, devinant derrière lui une autre très belle ...
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